Apprenti (1) - Dépucelé



le dépucelage de Nathan

J'aime le pain frais. Un plaisir que j'ai gardé de mon enfance. Commencer à manger le quignon du pain sur la route du retour est délicieux avec un petit goût d'interdit en plus, comme un plaisir volé. Aussi, je vais tous les matins acheter mon pain à la boulangerie en bas de chez moi. En semaine, je ne m'attarde pas pour ne pas être en retard au boulot, mais le samedi, je prends le temps de discuter avec le boulanger qui est vraiment cool. On parle de tout et de rien. Quand ma copine m'a largué il y a un an, c'est lui qui m'a soutenu. Je crois qu'il vit seul. En tous les cas, je n'ai jamais vu de boulangère. De temps en temps, il prend un apprenti. C'est étonnant, ils sont toujours super mignons ses apprentis ! Lui aussi est très attirant, il a un je-ne-sais-quoi dans le sourire qui doit faire fondre ces dames, j'en suis sûr. Il est bien en chair, avec ce côté rassurant des hommes qui ont du bedon. Je me suis souvent dit qu'on devait être rudement bien dans ses bras.

— Nathan, encore en train de rêver !

La voix de Tom - c'est son nom - me tire de mes pensées. Je me demande depuis combien de temps il est là devant moi à me regarder pendant que je rêve...

— En tous les cas, mon ventre avait l'air de t'inspirer, tu le regardais intensément !

— Désolé Tom.

— Sérieux, tu as envie d'en parler ?

— Parler de quoi ?

— Allez, je ferme la boutique, j'ai envie qu'on soit que tous les deux

Je sens alors comme des papillons dans mon estomac, une sensation étrange. Tom ferme le rideau de fer derrière moi, nous plongeant dans la pénombre. J'entends mon cœur qui bat à toute allure et je sens, soudain, Tom qui se colle dans mon dos, qui me pousse contre la vitrine des pains au chocolat. Je sens sa main qui pelote mes fesses, je ne sais que faire, que dire, mon cœur semble s'être définitivement emballé. Sa main se glisse entre mes jambes et empoigne mes couilles, alors qu'il serre, je lâche un :

— Aïe !

Il en profite pour m'écraser contre la vitrine, m'obligeant à me plier en deux. Je ne suis pas confortable du tout, mais, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. Je sens ses mains qui prennent ensemble mon bermuda et mon boxer et les font descendre sur mes pieds. Ses mains chaudes viennent maintenant caresser mes fesses nues. J'entends sa respiration qui s'accélère, je sens qu'il glisse un doigt humide entre mes fesses, quand je le sens qui touche mon trou, je proteste :

— Tom ! Arrête !

Il ne répond pas et son doigt continue de titiller, de faire de petits ronds autour de mon anus. Alors il y a comme une vague qui part de cet endroit, qui remonte le long de mon sexe, qui me fait me sentir tout chaud. Je reconnais cette sensation entre mes jambes : je suis en train de bander. Il remet de la salive sur son doigt qui revient écarter mes fesses et tourner autour de mon trou. Son doigt appuie comme pour tenter d'entrer et... et... J'en ai envie ! Alors, inconsciemment, je me penche davantage en avant, je cambre mon dos et recule mes fesses contre son doigt.

— Tu vas voir Nathan, je vais te faire beaucoup de bien...

Sa voix me rassure, j'ai confiance dans cet homme. Alors je me détends, je m'appuie tranquillement sur la vitrine et je sens mon anus s'ouvrir et son doigt s'enfoncer lentement, mais profondément.

— Ouiiiiiiii!

Tom savoure sa victoire. Son autre main vient prendre mon sexe tandis que son doigt tourne dans mon cul. Je sens qu'il fait ce qu'il veut de moi, et ça me plaît. Son doigt se retire et j'en sens alors deux qui veulent rentrer. Je me dis qu'il n'y arrivera pas, que c'est trop. Il me fait des bisous dans le cou, sa main qui serre ma bite commence de lents mouvements qui me font du bien. Alors une douleur me vrille le cul, il vient d'enfoncer ses deux doigts d'un coup au fond, j'ai super mal. Heureusement, sa branle sur mon pénis se fait plus rapide et le plaisir sur ma queue me fait oublier la douleur de mon cul qui disparaît petit à petit. Je sens ses doigts en moi qui remuent, qui viennent toucher un endroit dans mon cul très sensible et je pousse un couinement de plaisir. Sa voix se fait vicieuse :

— Tu aimes ça, hein ?

Il retire ses doigts de mon cul, je sens ses mains qui empaument mes fesses et les écartent. J'entends qu'il se baisse, je pense qu'il est en train de regarder mon cul :

— Ton anus s'est super bien élargi tu sais Nathan, j'ai bien envie de t'enculer, tu veux ?

Je me retourne alors et tombe sur son beau sourire. J'approche mes lèvres des siennes, sa bouche sent le pain frais, je ferme les yeux et c'est les lèvres humides de ce baiser que je le laisse m'emmener sur son lit. Il m'y allonge sur le dos, les jambes relevées et c'est les yeux noyés dans les siens que je sens son pénis prendre possession de moi. Je sais qu'il est en train de m'enculer, que plus rien ne sera comme avant, que mon anus, déjà élargi par ses doigts, est en train de se distendre encore davantage sous la poussée de son membre, aussi, je ne lâche pas son regard, comme si ses yeux me tenaient par la main. Je laisse échapper un petit cri, car son pénis vient de toucher un point sensible dans mon cul, il sourit. Il recule alors un peu sa bite et l'avance brutalement pour venir recogner à cet endroit précis.

— OUCH !

J'accuse le coup, car la sensation, entre douleur et plaisir, est forte. Il recommence encore plus fort et je couine de plus belle.

— Tu aimes ça, hein ?

J'imagine que l'expression de mon visage ne laisse aucun doute sur ma réponse. Je me sens à sa merci et à la merci de ce pénis dans mon cul. Tom est aux anges et enchaîne maintenant les coups de bassin. C'est bon de le voir prendre du plaisir. Il accélère maintenant les coups et quand je vois qu'il se plante en moi, je sais qu'il est en train de m'envoyer son sperme au fond de mon cul. Il se retire, toujours en souriant, et je me sens différent. Il me laisse ainsi, les jambes écartées, ma petite bite tendue. Il prend son smartphone et prend des photos de mon anus. Cela ne me gène pas, je me sens totalement en confiance.

— Je peux envoyer les photos à mes apprentis Nathan ?

— Euh... B… Bien sûr!

Quelques minutes passent, je me recule sur le lit pour être plus confortable, je sens du liquide qui coule de mon anus, je me sens femelle.

— Tu te rappelles de Corentin ?

Bien sûr que je m'en rappelle, c'est l'apprenti qu'il a eu il y a deux mois. Grand, super beau, mais un caractère de cochon. Une fois, on s'est disputé à propos d'un rendu de monnaie. Tom avait tranché en ma faveur, mais on est restés brouillés depuis.

— Il a envie de venir, ça te dit ?

Je me rappelle comment il est beau et fait oui de la tête.
Tom nous apporte du bon café et de délicieux croissants, il s'assoit à côté de moi et je respire comment il sent bon. Il caresse ma petite bite pendant que je me régale. Elle est toujours dure.

Quand Corentin arrive une demi-heure plus tard, je me rappelle en le saluant combien je ne l'apprécie pas :

— Salut !

— Salut !

Je ne sais que dire de plus et c'est alors que, baissant les yeux, je vois une belle bosse au niveau de sa braguette. Un truc étrange se passe alors. Ayant pris conscience du bien que peut lui faire un membre comme celui-ci, mon corps se met à se préparer tout entier à séduire et tout faire pour être à nouveau pénétré. Alors qu'il entame une conversation sur des banalités, je lui souris, passe ma main derrière mes cheveux, puis, de plus en plus à l'aise, je me caresse les fesses et, finalement, le laisse s'approcher de moi et me rouler un patin. Il me pelote en m'embrassant et me glisse à l'oreille :

— J'ai toujours su que tu étais une bonne petite salope Nathan. Ce soir, je vais te rendre la monnaie de ta pièce.

— Bien les garçons, laissez-moi prendre le contrôle !

C'est Tom qui intervient, et cela me rassure tout de suite. Sur son ordre, Corentin se déshabille et nous venons nous asseoir tous les deux sur le rebord du lit, face à lui. Nos sexes sont tendus à mort. Celui de Corentin est vraiment impressionnant, une bonne longueur, mais surtout très épais. Le mien est tellement plus petit.

— Nathan, mets-toi comme tout à l'heure, je pense que tu aimes cette position. Et comme le pénis de Corentin est un peu courbé, ce sera meilleur ainsi.

Aidé par Tom, je me positionne sur le dos, je tiens mes jambes et laisse mon cul dépasser un peu au bord du lit. Ensuite Tom invite Corentin à se lever, il prend fermement le pénis de son apprenti dans sa main et commence à le branler. Je les regarde tous les deux de ma position, la belle main de Tom empoigne totalement le membre dressé et fait des aller-retour tantôt doux, tantôt vigoureux, je sens de la bave qui coule de ma bouche. Ensuite Tom met une main sur les fesses de Corentin et guide sa bite jusqu'à mon trou. Je vois Tom mouiller son majeur et je sens qu'il l'enfonce dans mon anus. Il me regarde en même temps et je me décontracte. Je ne quitte pas son regard tandis qu'il guide le pénis de Corentin à l'intérieur de moi. Cela me fait mal, je sens que ça me déchire. Alors que je serre les dents, Corentin me regarde et sourit. Je ne peux m'empêcher de penser que ça lui fait plaisir. Tom prend mon petit sexe dans sa main et le branle délicieusement, le plaisir est immédiat et délicieux et j'oublie la douleur de mon anus pendant que Corentin me déchire, enfonçant la totalité de son membre dans mon fondement. Une fois au fond, j'entends l'apprenti qui racle sa gorge et quelle n'est pas ma surprise de le voir me cracher à la gueule. Le mollard, bien gras, vient s'écraser près de mon œil. Alors qu'il me regarde, ravi, je sens instantanément une sensation sur ma petite bite qui bande tout à coup plus fort dans la main de Tom. Les deux hommes se regardent d'un air entendu, Tom fait oui de la tête. Corentin étale alors avec sa main le mollard sur mon visage :

— Tu as tous les réflexes de la bonne petite salope Nathan. Je vais avoir bien du plaisir avec toi...

Et il donne de petites baffes sur mes joues humides.

— Et prends ça !

Il retire alors brusquement son pénis de mon cul et le renfonce immédiatement jusqu'au fond. Je crie ma douleur.

— Doucement Corentin, il est tout juste dépucelé !

— Trop tard, avec ce coup-là son anus est définitivement celui d'un sous-mâle ! Bien ouvert pour les bites !

Il recommence alors la même manœuvre, je crie de nouveau, mais cette fois, le plaisir se mêle à la douleur et, dans mes yeux qui le regardent, il y a la supplication, car je veux qu'il recommence encore. Il fait oui de la tête en se mordant la lèvre et commence alors un vigoureux enculage et je suis inondé par le plaisir et le sentiment d'être sa femelle. Tom se déplace alors vers ma tête et approche sa bite tendue de ma bouche. J'ouvre grand et tends la langue tellement j'ai envie de connaître le goût de sa queue. La bite pénètre ma bouche, s'enfonce dans ma gorge, je ferme les yeux, je sens mon petit sexe se tendre et je me doute qu'ils le voient. Tom commence à limer, doucement, puis plus rapidement. À un moment, les deux mecs accélèrent comme des fous, mon cul me brule, ma bouche se remplit de sperme, la queue de Corentin se plante en moi, touche cet endroit si sensible de mon cul, je suis pris d'un spasme, le sperme gicle de ma verge, Corentin s'affaisse sur moi, essoufflé et ravi :

— Comment je l'ai fait jouir du cul, cette petite pédale !

Je regarde Tom, il sourit aussi, je lui souris. Je pense que ce n'est pas fini...

Une soirée bien arrosée