Apprenti (2) - Une soirée bien arrosée



Comme vous pouvez vous en douter, le lendemain en me réveillant, je n'avais qu'une hâte, aller acheter ma baguette chez Tom. Pas de clients dans la boulangerie quand j'arrive.. Tom m'accueille avec un grand sourire, mais moi, j'ai le cœur qui bat à 100 à l'heure. Je sais que je n'aurais pas dû revenir. Ce n'était pas difficile de changer de boulangerie. J'ai peur qu'il me refasse comme hier, j'ai peur de ce qu'il peut encore me faire découvrir de moi-même. Nous ne disons rien, il me fait signe d'approcher avec sa main. Il ouvre le comptoir. Sans y penser, je baisse la tête pour regarder à l'endroit de sa braguette. Je sens sa main appuyer sur ma tête et je pose mes genoux sur le sol. J'ai les yeux à la hauteur de sa braguette, je sens de la salive qui afflue dans ma bouche, il ouvre la fermeture éclair et fait sortir son pénis. Alors, machinalement, comme si j'étais programmé depuis toujours pour faire cela, j'ouvre la bouche, tire la langue et, tandis qu'il insère son membre, je ferme les yeux. Son sexe se gonfle dans ma bouche tandis qu'il le frotte contre ma langue et mon palais, je le sens aller et venir dans ma bouche comme dans un étui, il tape au fond de ma gorge, il met ses mains derrière ma tête, tape de plus en plus vite, enfonce de plus en plus loin sa teub. Soudain, j'ai un haut-le-cœur, il enfonce alors sa queue encore plus, je sens que ça coule dans ma gorge, j'avale, le goût est fort, ma queue me fait mal tellement je bande. Je me relève pile au moment où un client rentre. Un grand brun barbu qui me regarde m'essuyer les lèvres en nous saluant. Tom lui donne sa baguette, m'envoie chercher les deux croissants dans la vitrine. Alors que je me penche pour les attraper, je lève les yeux et tombe sur ceux du client qui est en train de mater mes fesses. À peine a-t-il franchi la porte que Tom m'attrape, me met face à lui et me roule une pelle monumentale en mettant sa main sur mes fesses :

— J'organise une petite fête ce soir, ça te dit de venir ?

Je dois le regarder de façon interrogative, car il précise :

— Une petite fête en ton honneur.

Et il me donne une petite tape sur la fesse pour m'inviter à aller bosser.

Le soir quand j'arrive, il y a plusieurs voitures garées devant la boulangerie alors qu'elle est fermée. Je sonne et Tom m'accueille avec un grand sourire. Il m'emmène dans la salle d'eau :

— Déshabille-toi, je veux que tout le monde voie comme tu es beau.

— Les autres sont nus aussi ?

— Bien sûr que non, tu poses parfois des questions idiotes Nathan. Allez, dépêche-toi, tu vas apprendre beaucoup de choses ce soir...

Je ne sais pas trop ce que je fais, mais la voix autoritaire de Tom ne me laisse pas le choix, aussi, je retire un à un mes vêtements.

— Mets-toi à quatre pattes et suis-moi !

Je ne comprends pas bien, mais il tient la porte et je vois qu'il ne me laissera pas sortir debout. Je me baisse en le regardant, me demandant si c'est vraiment ce que je dois faire, mais il opine et, quand je suis à quatre pattes, ouvre la porte. Dans le séjour, il y a un buffet garni et je reconnais tout de suite Corentin et Raphaël qui discutent ensemble, habillés bien sûr. J'adore Raphaël, c'est un ancien apprenti de Tom, j'ai beaucoup d'estime pour lui et je crois que c'est réciproque. C'est Corentin qui me voit le premier, là, tout nu et à quatre pattes. Je me dis qu'il faut que je me relève, la situation étant assez inconvenante, mais, le temps que je me décide, Corentin s'avance et, à califourchon sur moi, enserre mon cou avec ses jambes de façon à m'en empêcher. Je sens que je deviens tout rouge alors qu'il rigole.

— À dada sur mon bidet !

Et il me donne une grande claque sur les fesses. Je vois Raphaël qui me regarde, l'air gêné. Corentin se penche en avant et écarte mes fesses :

— Regardez, il a encore l'anus tout rouge du mon bon enculage d'hier !

Et je sais que c'est vrai, car mon anus a été douloureux toute la nuit.

Deux grands gars que je ne connais pas s'approchent et regardent attentivement en se donnant des coups de coude. Corentin exulte, il adore faire le spectacle :

— Allez me chercher un truc à lui mettre dans le cul, on va rigoler !

L'un des gars s'éclipse. Corentin se met à battre la mesure sur mes fesses en chantant "Je - Je - suis libertine - je suis une catin - Je - Je - suis si fragile - qu'on me tienne la main".
Le gars revient, exhibant un grand balai comme un trophée.

— Vas-y ! Fourre-lui dans l'fion !

Commande Corentin en enserrant davantage mon cou avec ses cuisses. S'il ne l'avait pas fait, je me serais libéré, mais c'est maintenant impossible, il est plus fort que moi. Je sens le plastique froid qui touche mon anus.

— Appuie, mec ! Ça va s'ouvrir ! Comment j'ai fait hier avec ma teub ?

Je sens que le gars appuie à fond le manche du balai. J'essaie de fermer mon cul, mais le balai rentre néanmoins, je le sens s'enfoncer dans mon anus, visiblement le gars a décidé d'en rentrer le plus possible, car je le sens s'enfoncer encore et encore.

— Eh, eh ! Nathan, tu vois, il est ouvert ton cul maintenant, tu ne peux plus rien faire, on y rentre ce qu'on veut.

Et ils rigolent.

Corentin saisit le manche et le remue d'avant en arrière. Je pousse de petits cris de douleur à chaque fois. Ils rigolent de plus belle. Devant moi, Raphaël me regarde plein de pitié et j'ai honte de moi. Quand j'entends la voix de Tom, je me dis que je vais être délivré :

— Passe-moi ce manche Corentin !

Corentin obéit, mais reste à califourchon sur moi. Je sens le balai remuer dans mon cul, mais de façon beaucoup plus douce. Quand il vient cogner contre les endroits sensibles, je ne peux retenir un couinement de plaisir, puis un autre. Les gars rigolent à nouveau. Je suis inondé de plaisir au rythme des mouvements du balai dans mon cul et j'écoute ce que dit Corentin :

— Tu as toujours aimé faire jouir les lopes toi, Tom !

— C'est vrai.

— Tu te rappelles quand tu as essayé de me coincer contre la vitrine des croissants ?

— Comme si c'était hier : tu m'as mis une droite dont je me souviens encore!

— Il ne t'a pas cogné Nathan ? Dis Corentin ironique.

— Non, il a cambré son cul, j'ai tout de suite su que j'allais bientôt pouvoir me vider les couilles !

Moi je me dis :
— Mais bien sûr, c'est cela qu'aurait fait un vrai mec quand moi je me suis laissé faire...

Et à ce moment-là, la jouissance me submerge...

— Oh, regardez ! Ça y est, il mouille !

Effectivement, je sens ma bite qui est en train de couler, tandis que les gars se baissent pour regarder, il y en a même un qui me caresse ma bite et mes couilles, mais je ne sais pas lequel c'est.

Mais mon plaisir est de courte durée et, l'orgasme passé, ne reste que la honte de me trouver là, au milieu de ces gars, de m'être donné en spectacle, d'avoir joui par un balai dans mon cul. Alors je mets ma tête dans mes mains et j'essaie de ne plus penser à rien. Je sens que l'on retire le manche de mon anus, je sens une main qui serre mes couilles, une autre qui caresse ma fesse, qui écarte le lobe pour découvrir mon trou, et d'un coup, un mec enfonce son pénis, totalement. Je sens qu'il a juste sorti sa queue et même pas baissé son jean. Tandis qu'il reste ainsi, je comprends que je suis comme un jouet pour eux. Je suis une chose qu'ils utilisent pour rigoler. Je suis un trou pour satisfaire leur besoin de mâles : vider leurs couilles. Maintenant, il fait aller et venir sa bite pour prendre son plaisir, énergique et violent. Je sens sa teub très dure, en moi, qui me perfore. Après plusieurs minutes à m'enculer, il se met à accélérer, à taper plus fort dans mon cul, puis pousse un râle de plaisir, se plante en moi et reste ainsi. J'entends des applaudissements. Puis le silence. Toujours cette main qui enserre mes testicules et cette autre sur ma fesse, mais, quand je sens qu'elle écarte le lobe, je frémis et appréhende. Deux secondes plus tard, d'un coup sec, un autre pénis se fiche entièrement en moi sous les hourras. Il est plus épais, je le sais, car je sens mon anus douloureux qui se distend. Et je sais qu'il est totalement en moi, car je sens les couilles du gars contre mon cul. Il se recule, retire sa bite et les gars simulent des soupirs dépités. Alors le mec me la remet super brutalement et c'est malgré moi que je sors de mon silence et pousse un couinement. Le public pousse des hourras. Le mec recommence plusieurs fois, il sort sa bite et me la remet violemment, tellement fort que je glisse sur le parquet comme un fétu de paille. Les mecs tapent des pieds. Je sens ce pénis dans mon cul, il me prend une poignée de cheveux, tire dessus, m'obligeant à relever la tête et à me cambrer, et, me chevauchant ainsi, commence de lents aller et retour. La sensation comme cela est différente, il tape régulièrement à un endroit qui me fait du bien, je me laisse aller à un couinement de plaisir, le silence se fait, le mec me murmure :

— C'est bon comme ça, hein !

Je croise le regard des mecs devant moi. Ils sont en train de branler leurs pénis. Un mec montre son majeur. Mon enculeur me tire sur les cheveux au même moment où sa teub touche cet endroit sensible dans mon anus et sentir les deux en même temps me fait couiner devant eux. Je sens que, petit à petit, il accélère et cogne plus durement dans mon cul et, quand il se met à enculer à toute vitesse, je hurle de plaisir dans les aigus, et, quand j'entends son râle grave, je jouis tandis qu'il se vide en moi.

Après quelques instants, je sens qu'il se retire et passe devant moi. Je lève les yeux et reconnais Corentin et son air supérieur. Il exulte, s'assoit devant moi et, montrant sa queue :

— Eh oui, c'était moi ! Allez, nettoie ce qui t'a donné tant de plaisir ! Remercie ma bite !

Alors je croise son regard qui me toise et j'abaisse ma tête pour lécher sa teub humide et encore à moitié bandée. J'enchaîne les coups de langue sans me lasser, quand j'entends des gloussements derrière moi. Un mec introduit son doigt dans mon anus. Il le remue, il essaie d'en enfoncer un autre. Il y arrive au bout de quelques secondes en poussant un cri de victoire. Il écarte maintenant ses deux doigts de façon à ouvrir mon trou pendant qu'un mec tire sur mes testicules pour dissuader toute tentative de rébellion. Je sens un liquide fuiter de mon anus et ce bruit "floc ! floc !" par terre. Je crois que je vais mourir de honte et j'entends leurs commentaires :

— Regarde, ça coule !

— Waouh ! Comment c'est rempli !

— Je fais un peu de place les mecs avant d'en remettre une dose !

— Attends, je veux qu'il voie…

Et un mec prend la place de Corentin, s'assoit devant moi et me montre une vidéo sur son portable. On y voit mon anus, méconnaissable, écarté, duquel sort du sperme en coulées irrégulières et épaisses. Le mec caresse sa bite dans son jean devant moi et je ne peux détourner le regard de ce qu'il fait. Et quand il sort sa bite gonflée, veineuse, je me rends compte que je bave.

— Appelle-moi Le Pacha et toi, tu es tellement une salope ! Allez, fais-toi plaisir, suce !

Mon cœur se met à battre plus vite comme si, déjà, j'étais amoureux de ce membre que je prends en bouche en fermant les yeux. Je m'applique dans mes mouvements de va-et-vient de façon à ce que cela soit le plus agréable possible pour lui. Je suis tellement appliqué que je remarque à peine le pénis qui vient de se ficher dans mon cul et qui m'encule maintenant. Le Pacha a une belle voix grave :

— T'es une bonne suceuse, tu sais ! Maintenant quand je dis UN tu tètes ! quand je dis DEUX, tu avales ! Et ma queue doit rester dans ta gueule, OK ?

— Je réponds OK, fier de moi.

Le Pacha se met donc à m'imposer ce rythme et je veille à bien alterner la pression de ma langue et de mon palais sur sa bite pour téter et avalage de ma salive, en cadence.

— UN !

Je tète.

— DEUX !

J'avale. Derrière, ça l'amuse, et il se met à m'enculer sur le même rythme en riant. À UN il recule lentement, à DEUX il enfonce sa bite au fond d'un coup. Par contre, je sens la bite dans ma bouche qui se ramollit.

— UN !

Je tète.

— DEUX !

J'avale

— UN !

Je tète et ma bouche se remplit d'une grande quantité d'un liquide chaud.

— DEUX !

J'avale sans réfléchir et tout mon corps se contracte tellement le goût dans ma gorge est infect. Je comprends alors qu'il vient de me pisser dans la gueule. Je me mets à tousser sans réussir à m'arrêter pendant qu'il rigole. Je vois son pénis grossir puis se lever, ça l'excite le mec de m'avoir fait boire sa pisse. Je sens mon visage devenir cramoisi. Je tousse encore quand j'entends un puissant râle de plaisir derrière moi et mon enculeur qui s'affale sur moi. Le temps de reprendre ses esprits, il commente, hilare :

— Waouh ! Quand il a toussé, il a contracté son cul, ça m'a massé la teub, ça m'a fait méga-jouir !

— Ouais, je lui ai fait avaler ma pisse.

— Vraiment ?

— Oui, et maintenant, je vais l'enculer pendant qu'il a le nez dedans.

Effectivement, il y a une mare d'urine sous mon nez et il m'appuie la tête dedans avant de se positionner derrière moi. Il est très excité et son pénis gonflé, très dur pointe vers le haut, prêt pour ce qu'il veut en faire. Bientôt je sens ses mains de part et d'autre de mes fesses, son bâton cherche mon orifice, il donne des coups à différents endroits de ma raie avant de trouver mon trou et de s'y enfoncer. Il crie de bonheur comme s'il s'adressait à quelqu'un à dix mètres de lui :

— Oh oui, comment c'est chaud ! Comment c'est bon ! Nathan, ton cul, c'est le paradis de la bite ! Il faut décorer Tom comme bienfaiteur de l'humanité pour t'avoir découvert !

Et il commence de lents mouvements d'enculage. Je me sens possédé par ce membre en moi et, soudain, j'ai envie de plus. Ce mec qui se fait appeler Le Pacha, et qui est en train de prendre son plaisir en moi, j'ai envie de plus de lui. Alors je vois la mare que forme son urine devant mes yeux, je tends la langue, et je lèche un petit coup dedans. Je reconnais le goût âcre de tout à l'heure. C'est comme si avaler l'urine de ce mec me faisait apprécier encore plus les coups de son pénis en moi. Je donne un deuxième coup de langue plus appuyé et j'avale ce liquide au goût fort. C'est comme si mon cul devenait plus réceptif, plus sensible aux mouvements de sa queue et c'est bon. Alors je me mets à laper frénétiquement, bruyamment de façon à avaler le plus possible la pisse de celui qui me fait jouir par le cul.

— Regardez !

— Waouh ! Il est assoiffé !

— Tu as vu, Pacha ?

— Oui, j'en ai fait un chiotte !

Je rougis, mais je n'arrête pas. Derrière il accélère et je crois que mon cul serre sa bite d'une façon très agréable pour lui. Je crois qu'il a été surpris par la jouissance et un râle de plaisir fend la pièce tandis qu'il se fiche en moi. Alors qu'il déverse en moi une nouvelle dose de semence, je lape la dernière goutte de pisse et je l'avale doucement. Je me rappelle des paroles de Tom :

— Tu vas apprendre beaucoup de choses ce soir...

Je suis son apprenti.






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