Je suis ton vide-couilles
Le matelas n'est pas très épais, mais il est fait avec ce gel que
l'on trouve sur les selles des vélos, du coup, il est très confortable.
Heureusement, car je passe la journée dessus, nu. La journée, et la nuit
aussi en fait. J'ai mis plus de temps à me faire aux étriers. Oui, mes
jambes sont écartées et mes pieds sont dans des étriers, de façon à ce
que mon anus soit en permanence accessible pour toi mon Maître. Tu m'as
tellement dilaté l'anus avec ta grosse queue, que celui-ci reste ouvert
en permanence maintenant, comme s'il était toujours dans l'attente de ta
bite. Et c'est ce qu'il est. C'est ce que je suis. En permanence dans
l'attente de mon Maître et de son gros pénis.
D'ailleurs, quand tu viens, c'est la première chose que tu fais, tu touches la grosse bosse sous la braguette de ton pantalon en me regardant, et lentement, tu sors ton engin. Quand je vois ta bite, l'effet est immédiat, je mouille. Ça te plaît beaucoup de voir l'effet que me fait ta queue. Mon anus s'ouvre, mon sexe, bien que de taille modeste, devient tout dur, je me sens humide de partout. De me voir ainsi, ça te fait bander aussi. Ton pénis qui est déjà gros au repos, s'épaissit encore, grandit, durcit et prend cette forme que j'aime tant, la forme d'un gourdin. La forme de ton pénis m'a tout de suite plu car j'ai tout de suite imaginé le plaisir que ça devait faire de se faire enculer par un gourdin qui vous élargit à l'aller et au retour... Et ça, pour être élargi, j'ai été élargi...
Et puis tu t'avances, guidé par ton désir, par le besoin de mettre ta bite au chaud. Au fur et à mesure que tu t'avances, je me sens plus humide et ta queue est plus dure et dressée. Tu te positionnes entre mes jambes. Il y a un truc que tu adores, c'est approcher ta queue de mon anus et attendre la réaction. En effet, il se dilate à chaque fois, comme par réflexe. C'est comme un jeu pour toi. Tu approches ton gland de ma rondelle elle se dilate, tu l'éloignes elle se contracte, tu te réapproches elle se redilate... Tu aimes jouer avec ça. Elle t'obéit, soumise, elle aussi... À un moment, sans crier gare, HAN ! tu enfonces toute ta bite d'un coup dans mon cul. J'accuse le coup de surprise, tu plantes tes yeux dans les miens avec un regard qui veut dire : tu vois, je t'encule quand je veux, comme je veux, tu n'as rien à dire. Maintenant que j'ai élargi ton cul avec ma grosse queue, elle rentre comme dans du beurre. Ton cul est sans défenses, toujours ouvert, j'y rentre comme je veux. Je baisse les yeux, soumis par le pénis qui vient de me pénétrer, enculé, vaincu. Je repense à mon anus, comme il était serré avant de te connaître et comment tu me l'as complètement élargi en m'enculant ce jour où tu m'as soumis avec ta queue . Comme si tu lisais dans mes pensées, ton sexe planté au fond de moi:
— Il ne se refermera plus jamais comme avant ton trou, tu le sais. Maintenant, tu es ma chienne perso, sale pute ! Tu la sens bien ma queue, hein ! Elle est bien dans ton cul, là ! Tu vois, tu es une salope au cul bien ouvert pour que ton mâle puisse mettre sa grosse bite !
Tu sais que j'ai un peu mal alors tu attends un peu avant de bouger, le temps que mes intestins prennent la forme de ton pénis et forment un fourreau qu'il pourra ramoner. Et là, sans prévenir, tu sors ta queue ! Je me sens vide. Je m'attendais à jouir du plaisir d'être limé par ton sexe et je ne sens plus rien en moi que l'espace vide laissé par ta bite. Tu me la montres. Elle est super dure, super grosse. Je bave d'envie que tu me la remettes. Tu le sais. Tu le sais alors tu attends. Je ne peux quitter du regard ton membre. Tu serres tes couilles dans ta main et je sais que je vais être bientôt fécondé. Je me sens chienne soumise au désir du mâle devant moi. Tu me prends le menton pour m'obliger à te regarder. Et c'est là que tu te réenfonces en disant Salope ! et tu vois mon regard au moment où je sens ton pénis s'enfoncer en moi, tu vois ce que ça me fait de sentir un mâle me dominer. Et c'est parti pour l'enculage. Han ! Han ! Han ! Tu prends ton plaisir. Han ! Han ! Han ! Han ! Tu y vas fort et vite. Tu as envie d'éjaculer. Ta bite va et vient dans le fourreau de mon cul. C'est bon, tu prends ton pied. De temps en temps tu t'enfonces jusqu'au couilles et tu restes planté comme ça un moment avant de reprendre l'enculage. Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! C'est reparti. Tu es en train d'élargir mon cul comme jamais. Tu le formates pour ta queue. Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Tu accélères Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Haaaaaaaaaaaaa ! Tu t'es planté d'un coup au fond et tu envoies ton sperme. Je le sens qui gicle. Ça dure longtemps. Je suis fécondé comme une femelle. Tu es affalé sur moi, essouflé par la jouissance. Je m'endors avec toi en moi.
À mon réveil, tu n'es plus là et j'attends ton retour. Je n'essuie pas le sperme qui sort de mon trou et coule le long de mes cuisses. Je suis ton vide-couilles.
Ce récit fait partie de la série Je suis devenu son esclave sexuel
D'ailleurs, quand tu viens, c'est la première chose que tu fais, tu touches la grosse bosse sous la braguette de ton pantalon en me regardant, et lentement, tu sors ton engin. Quand je vois ta bite, l'effet est immédiat, je mouille. Ça te plaît beaucoup de voir l'effet que me fait ta queue. Mon anus s'ouvre, mon sexe, bien que de taille modeste, devient tout dur, je me sens humide de partout. De me voir ainsi, ça te fait bander aussi. Ton pénis qui est déjà gros au repos, s'épaissit encore, grandit, durcit et prend cette forme que j'aime tant, la forme d'un gourdin. La forme de ton pénis m'a tout de suite plu car j'ai tout de suite imaginé le plaisir que ça devait faire de se faire enculer par un gourdin qui vous élargit à l'aller et au retour... Et ça, pour être élargi, j'ai été élargi...
Et puis tu t'avances, guidé par ton désir, par le besoin de mettre ta bite au chaud. Au fur et à mesure que tu t'avances, je me sens plus humide et ta queue est plus dure et dressée. Tu te positionnes entre mes jambes. Il y a un truc que tu adores, c'est approcher ta queue de mon anus et attendre la réaction. En effet, il se dilate à chaque fois, comme par réflexe. C'est comme un jeu pour toi. Tu approches ton gland de ma rondelle elle se dilate, tu l'éloignes elle se contracte, tu te réapproches elle se redilate... Tu aimes jouer avec ça. Elle t'obéit, soumise, elle aussi... À un moment, sans crier gare, HAN ! tu enfonces toute ta bite d'un coup dans mon cul. J'accuse le coup de surprise, tu plantes tes yeux dans les miens avec un regard qui veut dire : tu vois, je t'encule quand je veux, comme je veux, tu n'as rien à dire. Maintenant que j'ai élargi ton cul avec ma grosse queue, elle rentre comme dans du beurre. Ton cul est sans défenses, toujours ouvert, j'y rentre comme je veux. Je baisse les yeux, soumis par le pénis qui vient de me pénétrer, enculé, vaincu. Je repense à mon anus, comme il était serré avant de te connaître et comment tu me l'as complètement élargi en m'enculant ce jour où tu m'as soumis avec ta queue . Comme si tu lisais dans mes pensées, ton sexe planté au fond de moi:
— Il ne se refermera plus jamais comme avant ton trou, tu le sais. Maintenant, tu es ma chienne perso, sale pute ! Tu la sens bien ma queue, hein ! Elle est bien dans ton cul, là ! Tu vois, tu es une salope au cul bien ouvert pour que ton mâle puisse mettre sa grosse bite !
Tu sais que j'ai un peu mal alors tu attends un peu avant de bouger, le temps que mes intestins prennent la forme de ton pénis et forment un fourreau qu'il pourra ramoner. Et là, sans prévenir, tu sors ta queue ! Je me sens vide. Je m'attendais à jouir du plaisir d'être limé par ton sexe et je ne sens plus rien en moi que l'espace vide laissé par ta bite. Tu me la montres. Elle est super dure, super grosse. Je bave d'envie que tu me la remettes. Tu le sais. Tu le sais alors tu attends. Je ne peux quitter du regard ton membre. Tu serres tes couilles dans ta main et je sais que je vais être bientôt fécondé. Je me sens chienne soumise au désir du mâle devant moi. Tu me prends le menton pour m'obliger à te regarder. Et c'est là que tu te réenfonces en disant Salope ! et tu vois mon regard au moment où je sens ton pénis s'enfoncer en moi, tu vois ce que ça me fait de sentir un mâle me dominer. Et c'est parti pour l'enculage. Han ! Han ! Han ! Tu prends ton plaisir. Han ! Han ! Han ! Han ! Tu y vas fort et vite. Tu as envie d'éjaculer. Ta bite va et vient dans le fourreau de mon cul. C'est bon, tu prends ton pied. De temps en temps tu t'enfonces jusqu'au couilles et tu restes planté comme ça un moment avant de reprendre l'enculage. Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! C'est reparti. Tu es en train d'élargir mon cul comme jamais. Tu le formates pour ta queue. Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Tu accélères Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Haaaaaaaaaaaaa ! Tu t'es planté d'un coup au fond et tu envoies ton sperme. Je le sens qui gicle. Ça dure longtemps. Je suis fécondé comme une femelle. Tu es affalé sur moi, essouflé par la jouissance. Je m'endors avec toi en moi.
À mon réveil, tu n'es plus là et j'attends ton retour. Je n'essuie pas le sperme qui sort de mon trou et coule le long de mes cuisses. Je suis ton vide-couilles.
Ce récit fait partie de la série Je suis devenu son esclave sexuel