Ahmed et ma copine (1)


 


Certains de nos gestes trahissent, à notre insu, ce que nous pensons. Des choses que nous ressentons et souhaitons garder secrètes se trouvent, ainsi, dévoilées. J’ai emménagé ici il y a un mois avec ma copine et hier, en sortant de l’appartement, je vois Ahmed, notre nouveau voisin. C’est un grand gars, carré d’épaule, des poils bruns abondants sortent par le col de sa chemise. C’est lui qui fait le premier pas :


— Bonjour

— Bonjour

— Je suis content de te voir, je vous ai vu avec ta copine, vous formez vraiment un beau couple,

— Merci, ça me fait plaisir.

Et disant cela, je me caresse la nuque presque langoureusement en le regardant. Son regard change alors, nous nous regardons longtemps et il sourit. Je regrette aussitôt ce geste, tente de reprendre le contrôle de la situation :

— Et toi, tu es célibataire ?

— Oui ma puce, euh, pardon, tu t’appelles comment ?

Il s’est vite repris, mais, l’espace d’un instant, mon cœur s’est mis à battre à 100 à l’heure et je ne peux m’empêcher de penser qu’il l’a fait exprès.

— Nathan !

— Heureux de t’avoir rencontré Nathan, moi c’est Ahmed. À bientôt ?

— À bientôt !

Je me sens tout chose en prenant le chemin de mon taf et, de toute la journée, je n’ai pas pu me concentrer. Comme si ce moment m’avait désarçonné. Le soir, c’est encore en pensant à lui que j’ai fait l’amour à ma copine.

— Salut Nathan !

— Salut, Ahmed, c’est marrant, on sort à la même heure le matin alors.

— Oui, c’est chouette, car je te trouve très sympa, toi et ta copine.

— Tu l’as croisée aussi ?

— Je l'ai aperçue de dos, penchée en avant pour prendre un carton le jour du déménagement. Tu me la présenteras ?

— Avec plaisir !

— Tu m’attends un moment, j’ai un cadeau pour vous deux.

— Pas de souci.

J’attends donc pendant qu’il rentre chez lui. Je vais être en retard au boulot du coup, mais je n’ai pas osé lui dire non et puis cette histoire de cadeau m’intrigue. Heureusement, il n’est pas long.

— Tiens ! dit-il en me tendant un paquet cubique enveloppé d’un joli papier. Une odeur exotique emplit mes narines.

— Tu me promets que vous l’ouvrirez ensemble ce soir ?

— OK, merci beaucoup, c’est vraiment sympa de ta part.

Je suis vraiment intrigué. Je sais que, si en France, la coutume veut qu’on déballe les cadeaux devant la personne qui vous les offre, ce n’est pas pareil dans tous les pays. Pour la deuxième journée de suite, j’ai eu l’esprit occupé, je n’ai fait que penser à Ahmed et à son cadeau. Le moment où je rentre chez moi est un soulagement. Je parle de Ahmed à ma copine, elle me dit qu’ils se sont vus dans l’après-midi, qu’il est vraiment sympa, qu’il lui a parlé du cadeau et qu’elle a hâte de le déballer avec moi. En tous les cas, le paquet sent bon, une odeur chaude et exotique qui me donne des picotements au niveau de la verge. Je crois que je bande un peu, allez savoir pourquoi. Ma copine retire donc le papier cadeau et ouvre le carton, dévoilant une jolie fiole triangulaire, remplie d’un liquide orangé, l’odeur forte remplit maintenant la pièce, je me sens à nouveau tout chose. Un petit mot écrit à la main accompagne la petite bouteille. Ahmed nous y explique qu’il s’agit d’un onguent précieux qui a le pouvoir d’endiabler les jeux des amoureux. La femme doit appliquer l’huile sur son sexe et, à ma surprise, il a écrit que c’est sur son anus que l’homme doit mettre ce parfum. Nous sommes déjà bien excités par l’odeur, l’ambiance et ce que nous venons de lire, aussi, nous décidons de jouer tout de suite. Mon pénis commence à être bien dur et nous nous déshabillons avec ma compagne. On se caresse, on se lèche, on se mordille. J’admire la poitrine généreuse de ma copine, elle a porté aujourd’hui un décolleté qui la mettait bien en valeur et je ne peux m’empêcher de penser qu’Ahmed a dû bien en profiter toute à l’heure. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il aime les femmes avec « du monde au balcon ». Je retire la petite culotte et caresse la belle chatte de ma Tiphanie. C’est ma fierté d’avoir séduit une femme aussi belle qu’elle. Je verse un peu d’huile odorante sur mes doigts et caresse les lèvres et le clitoris de ma copine avec. Elle balance sa tête en arrière et gémit doucement. Je continue mes caresses, je bande, ses gémissements se font plus violents et ma bite durcit encore. Je bande à mort quand, soudain, elle se lève et me dit que c’est mon tour. Je ne sais trop comment me positionner, mais elle prend les devants, me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, je la regarde, elle est belle, ses tétons sont aussi tendus que ma queue. Elle relève mes jambes et, à son tour, fait couler de l’huile parfumée sur ses doigts. Je sens qu’elle caresse mes fesses puis descend vers mon anus. L’huile est chaude et douce, je me sens relax, une sensation étrange parcourt mon rectum. Je suis cool, détendu.

— Waouh, elle te fait de l’effet cette huile, chéri !

— Que veux-tu dire ?

— Eh bien, tu as l’anus qui s'est totalement ouvert...

En effet, je le sens maintenant. C’est ça, cette sensation... Et cette envie qu’elle mette un doigt à l’intérieur ! La pudeur et ma fierté masculine m’empêchent de dire quoi que ce soit... Je suis un homme ! Ma copine vient s’allonger contre moi et on se caresse doucement, mais j’ai perdu mon érection. Malgré les caresses de ma copine, je ne bande plus. J’ai l’impression que mon anus est devenu le centre de mon attention, que ma bite ne m’intéresse plus. Le beau pénis dressé qui faisait ma fierté tout à l’heure n’est plus qu’une petite nouille rabougrie. La dernière fois que je l’ai vue si petite et rabougrie, c’était cet été après un bain dans l’eau glacée de Berck-Plage... On continue de se caresser un peu, mais nous nous rendons vite à l’évidence : rien n’y fait. C’est bien la première fois que ça m’arrive ! Ma copine est un peu déçue, forcément, mais ne le montre pas trop. On essaye de rire de la situation, et nous rhabillons. Au cours du dîner, nous décidons d’inviter Ahmed pour le remercier de son cadeau, je lui dirai demain si je le croise.

Avant de me coucher, je m’isole dans la salle de bain. Je me déshabille. Ma queue n’a pas repris sa taille normale. Elle est rabougrie. Je la branle un peu, mais rien n’y fait. Cette huile est une saloperie. J’aventure un doigt vers mes fesses. Je ne me caresse pas souvent l’anus, mais je sens bien qu’il est plus ouvert que d’habitude. Je rentre mon doigt dedans. Je découvre une sensation nouvelle, c’est bon. Je fais des aller-retour, je sens encore sur moi l’odeur de l’huile et, malgré moi, c’est l’image de Ahmed qui vient à mon esprit. Je continue de me doigter, en enfonçant mon doigt de plus en plus loin, de plus en plus vite, une vague de plaisir part alors de mon cul et me submerge. Quand je rouvre les yeux, ma petite bite recroquevillée est trempée de sperme.

Je ne dors pas bien et je me réveille fatigué le lendemain matin. La sensation au niveau de mon anus n’a pas disparu quand je sors de chez moi.

— Salut Nathan !

— Salut Ahmed !

— Je suis ennuyé, Nathan...

— Qu’y a-t-il ?

— Vous avez testé mon cadeau ?

— Oui, hier soir.

— Désolé d’être direct Nathan, mais... (à ce moment, il se rapproche de moi, me regarde droit dans les yeux, je sens sur lui l’odeur de l’huile parfumée)... Tu as mis de l’huile entre tes fesses comme j’avais indiqué ?

Je ne sais trop comment me comporter et je balbutie :

— Oui, ça m’a paru étonnant, mais c’est ce que tu as écrit alors...

Il se rapproche encore de moi, j’ai l’impression que cette odeur forte d’huile me fait tourner la tête.

— Normalement, les mecs, c’est sur le pénis et sur les bourses qu’on met l’huile. Moi, je m’en suis mis ce matin sur mon sexe pour me sentir bien viril, tu vois.

Je sens que je deviens tout rouge.

— Mais... alors... Pourquoi ?

— Je voulais voir si tu le ferais... Tu dois avoir l’anus bien ouvert maintenant. Viens chez moi, je ne peux pas te laisser comme ça, ce ne serait pas cool.

Je sens qu’il me domine et je ne le veux pas, j’ai ma fierté, alors je réponds

— Je dois aller bosser.

— Comme tu veux, je te proposais ça pour que tu ne restes pas impuissant. Tu n’arrives plus à bander, n’est-ce pas ?

Je rougis encore plus. J’ai la tête qui tourne, je me dis que son huile m’a rendu impuissant et qu’il va faire quelque chose pour ça alors je le suis jusque chez lui.

— Allez, déshabille-toi et montre-moi ça l’ami.

Maintenant que je suis venu jusque chez lui, autant aller jusqu’au bout, je me déshabille donc devant lui, je me dis qu’on est entre hommes, donc je ne cache pas mon sexe, mais je me sens gêné quand même.

— Il est pas bien gros ton sexe Nathan !

J’ai déjà pu remarquer dans les douches au sport que ma bite est plutôt un peu en dessous de la moyenne, mais ma copine ne s’en est jamais plainte. Je sens mon visage chaud et cramoisi.

— Allez, mets-toi à quatre pattes sur le lit que je vois l’étendue des dégâts.

Comme il voit que j’hésite, Ahmed élève la voix :

— Je veux bien faire quelque chose pour toi, mais je n’ai pas de temps à perdre non plus Nathan, mets-toi à quatre pattes sur le lit. Je veux juste voir si l’huile a abîmé ton anus et te mettre une crème réparatrice au besoin.

J’obtempère donc, malgré tout ce que cela a de gênant. Je monte sur le lit et me tiens ainsi, à 4 pattes, les fesses dans sa direction. Ahmed me laisse comme ça un moment, je ne vois pas ce qu’il fait, j’ai un peu froid.

Je sens sa main chaude se poser sur mon dos au-dessus de mes fesses :

— Ne t’inquiète pas, je touche juste ton anus pour me rendre compte, voilà comme ça, écoute, il est totalement ouvert, on dirait que tu viens de te prendre une bite de cheval, je ne peux pas te laisser comme ça.

Je sens ses doigts caresser mon trou, je me sens tout chose.

— Reste comme ça, je vais rentrer un doigt à l’intérieur pour voir comment c’est. Comme ça, ça ne te fait pas mal ?

— Non, ça va...

Je sens son doigt s’enfoncer en moi de plus en plus, à un moment, je sens qu’il recourbe son doigt et qu’il le soulève comme s’il voulait me soulever comme ça par les fesses.

— Aïe !

— OK j’arrête ! Mais ne bouge pas, je veux essayer autre chose...

Un moment se passe, je reste dans la même position, quand je sens comme un gros doigt chaud contre mon anus, ensuite Ahmed verse de l’huile qui coule dans la raie de mes fesses, alors le gros doigt s’enfonce en moi et une douleur fulgurante me vrille le cul.

— Direct jusqu’aux couilles, mec ! Je suis en toi, t’es enculé !

Et toi lecteur, à la place de Nathan, tu te sens comment ?

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Tu sens que tu aimes ça mais tu n'es pas prêt à l'accepter. Tu te décules, lui fais face et tombe nez à gland avec son pénis ➔ lis la version "trouple" dans "Quand ça sent fort le mâle - Nouvelles érotiques gays bien sales - clique là