Ahmed et ma copine (3)

Les jours suivants, Tiphanie n'est plus du tout intéressée par moi. Ahmed vient quasi tous les soirs, il me salue à peine et ils vont tous les deux dans la chambre. Alors j'entends les cris de jouissance à n'en plus finir de ma copine. Le jeudi, les choses se passent différemment puisque, après une dizaine de minutes passées dans la chambre avec ma fiancée, Ahmed vient me demander de les rejoindre. Le lit est sens dessus dessous :

— Met toi à quatre pattes sur le lit comme tu sais bien faire Nathan !

Tiphanie est sur le lit, les jambes écartées, la vulve grande ouverte, elle me regarde. Je ne veux pas qu'il m'humilie devant elle. Je reste debout devant lui. Alors il prend son gros pénis dans sa main, et il joue avec devant mes yeux. Il le caresse, il le masturbe. Je baisse les yeux pour voir sa teub en rougissant, elle grossit. Je sens la main d'Ahmed sur ma tête qui appuie pour me faire me baisser et, sans réfléchir, le regard fixé sur sa bite, je plie le genou. Quand j'ai les deux genoux à terre, il sait que je suis mûr :

— Met toi à quatre pattes sur le lit comme tu sais bien faire Nathan !

Je me sens bouillant et j'obéis sans réfléchir.

— Voilà...

Je sens sa main chaude sur mes fesses, son doigt carresse les bords de ma rondelle...

— Tend bien ta croupe maintenant. Très bien ! Fais passer tes mains entre tes pattes, paume sur le dessus. Bien... Bonne chienne Nathan !

Je regarde ma bien-aimée allongée devant moi qui me regarde. J'ai honte... Soudain j'entends un « pan !» et une douleur cuisante me rougit la fesse : Ahmed vient de me fesser comme si j'étais un gamin qu'on corrige, et « pan ! », une deuxième, encore plus forte sur l'autre fesse. Tiph voit mes yeux se remplir de larmes.

— Comme je suis bon, je vais montrer à ta copine comment te donner du plaisir. Viens Tiphanie !

Tiphanie se lève et passe derrière moi.

— Prend ça ma belle et enfonce le dans l'anus de Nathan !

Je sens alors se poser sur mon anus comme un bâton de plastique, je sens l'odeur de l'huile parfumée. Je regarde en arrière, Tiphanie s'apprête à m'enfoncer une matraque en plastique dans le cul. Je me contracte : je ne veux pas de ça ! Pas par ma fiancée ! La voix de Ahmed se fait douce :

— Nathan, cela ne sert à rien de refuser de voir qui tu es. Tu es une lope soumise, tu dois bien t'en rendre compte maintenant...

Je ne réponds pas mais je ne bouge pas non plus. Il faut dire que, dans ma position, les mains sous le ventre, ce n'est pas facile de bouger. Il est malin Ahmed...

— Allez Tiphanie, appuie à fond sur ce bâton, il va bien finir par rentrer, vas-y, encule-le !

Je ne sais pas de quoi Tiphanie veut se venger, mais elle semble prendre plaisir à appuyer sur le gourdin. Moi je contracte mes sphincters le plus possible, et je sens le moment où mon anus a cédé, alors le gourdin avance rapidement dans mon cul, m'enpalant et me faisant un mal de chien. Ahmed exulte :

— Ah oui ! J'adore ça ! J'adore te voir enculé par ta meuf Nathan ! Ton cul est tellement ouvert que ça ne sert plus à rien de résister, on fait rentrer tout ce qu'on veut dedans ! Allez, remue la matraque chérie, tu vas voir, ça va le faire jouir, qu'il le veuille ou non !

Alors je sens la matraque bouger dans mon fion en me faisant gémir, de douleur d'abord, puis petit à petit un mélange entre douleur et plaisir, et puis je vois des étoiles, c'est trop bon et je m'entends couiner si fort. Je ne savais pas que j'étais capable de couiner comme ça ! Je sens deux doigts autour de ma machoire et j'ouvre la bouche. Alors, tandis que Tiphanie fait faire à la matraque des aller-retour rapides qui me transpercent, je sens la teub de Ahmed s'enfoncer profond dans ma gorge. Je ne maitrise plus rien. Mon cul et ma bouche sont en train de se faire mettre, j'ai l'impression d'être un objet pour leur plaisir. Devant, les aller-retour de Ahmed dans ma gorge se font plus rapides, il va de plus en plus loin et tape de plus en plus fort au fond de ma gorge, je sens son gland qui grossit m'arrachant un haut-le-coeur, je sens alors son membre qui gicle au fond de ma gorge me faisant avaler son sperme. Je sens la matraque enfoncée dans mon cul mais elle ne bouge plus.

— Regarde Tiphanie ! Regarde sous le sexe de ton copain ! Tu vois, il a joui son sperme lui-aussi ! Tu as compris comment le faire jouir ?

— Oui, c'est ok ! Je le ferai jouir ainsi de temps en temps.

Le ton assuré de Tiphanie m'étonne, mais j'accepte. C'est ainsi, je suis une lope soumise.



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