Le Reproducteur (écrit par @David28359114)



Charlotte était une jeune fille issue d’une vieille famille, elle avait du épouser l’héritier d’une vieille dynastie de l’industrie française qui s’appelle Pierre Alexandre qui est fils unique. Elle ne l’aime pas, elle n’a pas eu le choix. Charlotte avait un esprit pervers et inventif, elle avait réussi à repousser tout acte sexuel après le mariage. Quand ils emménagent ensemble, Charlotte qui dirige la préparation des repas avec les domestiques verse du bromure dans le vin de son époux au dîner qui sort à chaque fois d’une journée harassante de boulot. Il attribue son impuissance sexuelle à la fatigue.


_ désolé chérie, je suis trop fatigué, je n’arrive à bander.


Charlotte fait semblant de tout faire pour faire bander son époux, mais le bromure anihile toutes les capacités sexuelles de Pierre Alexandre. Charlotte avait désormais des envies irrépressibles de trouver un amant. Ce qu’elle voulait c’était un black qui soit bien membré, elle en avait repéré un lors des travaux de la piscine, elle l’avait chauffé, il lui avait laissé son numéro.


Un soir, Charlotte mis en place un plan pour humilier et dominer son impuissant, elle verse un léger somnifère dans le verre de Pierre Alexandre qui s’endort assez rapidement au lit. Elle appelle Boubakar qui attendait devant la demeure, il entre dans la chambre alors qu’elle attache une cage de chasteté sur son époux. Boubakar fait un mètre quatre-vingt dix, il est gros, gras et les chantiers ont dessiné une musculation, il ne met pas de déodorant, il sent fort la transpiration, ce qu’adore Charlotte.


_ voilà maintenant tu ne pourras plus bander, Boubakar tu peux l’installer sur la chaise.

Boubakar installe le mec dominé et l’attache au fauteuil.


_ Viens ici maintenant, j’ai trop faim, je suis vierge tu sais, je vais enfin pouvoir succer ta grosse queue.

Charlotte ouvre le jean et sort du caleçon la belle verge, le gland est recouvert d’une croûte de sperme séché, Boubakar prend la tête de la bourgeoise entre ses deux mains :


_ Tu l’as voulue salope, maintenant tu la suces, tu la nettoies, tu la lubrifies, fais le bien, car je vais te limer la chatte et pour ta première fois je vais te faire hurler. Quant à ta larve de mec, quand il sera réveillé mon pote turc va s’en occupé, il fera une bonne pute qui rapporte.

Boubakar appelle Hussein, un turc qui tient l’épicerie au bas de sa tour HLM à Grigny, il est lui aussi gros et gras, il aime les céfrans passifs, il adore les domestiquer.


_ salut poto, je m’occupe de la bourgeoise, j’ai une bonne larve, un petit puceau, prête à te lécher les aisselles et à sucer ton zboub, tu vas pas être dessus, c’est dans une baraque bourgeoise à Versailles, avenue Louis XIV. A tte


_ Tu l’aimes ma lance à incendie !!!


_ Oh oui Boubakar !!!!


_ Allonge-toi, tu vas devenir une femme !!!


Boubakar pose les deux jambes sur ses épaules larges, déchire le string qu’il enfonce dans la bouche de Charlotte.


_ Putain tu n’avais pas menti, une vierge !!!


La verge black pénètre la chatte, elle est chaude et étroite. Il bourre la bourgeoise avec énergie, elle hurle son plaisir, Boubakar s’amuse à sortir complètement sa queue XXL, un bon 28 cm de long et 9 cm de large, une matraque qui déchire les chattes. Charlotte prend la queue dans sa main, elle enlève la capote :

_ Je ne veux pas de ce morceau de plastique entre nous.


_ Tu prends la pilule.


_ Non, je tiens à avoir ta semence au fond de ma chatte.


_ Je suis un bon producteur, je vais te féconder, tu auras des jumeaux ma belle.


_ Mon pauvre Pierre Alexandre, j’aime les vrais mecs.

Pierre Alexandre qui s’est réveillé assiste muet comme une carpe à l’accouplement de sa femme et du black.


_ Ah la femelle blanche est réveillée, t’inquiète pas mon Hussein va s’occuper de toi.

La porte sonne, Boubakar complètement nu et queue lourde qui se ballade de droite à gauche ouvre à son pote. Le turc entre dans l’appartement, c’est une vraie masse de gras et de muscle. Il suit son pote black jusque dans la chambre.


_ Moi je m’occupe de la meuf, je te laisse cette larve, à mon avis, il va aimer ta queue.


_ Tu vas goûter à la puissance des turcs, j’ai quelques cousins qui m’aideront à élargir ta chatte.