Briser le stagiaire (1)
Aujourd'hui, le stagiaire va devenir homo.
C'est un mec plutôt mignon, pas très grand, environ 1m70. Son corps est
fin mais tonique, il doit faire de l'aviron ou de la natation. Devon
réalise son stage de Droit pour la fac dans mon cabinet. Il est là pour
encore plusieurs semaines. Dès le début de la journée, je lui annonce
que j'aurai besoin de lui tard pour classer un paquet de dossier.
Pourquoi aujourd'hui ? Ma femme est partie ce matin pour un déplacement
professionnel de trois jours.
Je me souviens de sa démarche lorsqu'elle est partie attraper son
taxi... difficile pour elle de masquer le fait que je l'avais honorée la
nuit et le matin afin de satisfaire ses besoins pendant trois jours.
Quant à mes besoins, j'étais sûr de trouver de quoi les assouvir. Et
Devon serait le premier. Je sais qu'il a une copine. Probablement plus
pour longtemps.
Le début de soirée arrive bien vite. Plus personne au cabinet à
part le stagiaire. Il est debout devant une grande table dans un bureau.
J'entre dans le bureau. Je ne lui laisse pas le temps de se retourner.
Je me place derrière lui, attrape son cou et plaque son torse sur la
table. Un jeu d'enfant vu ma carrure.
— Ta gueule, que je lui ordonne avant qu'il ne proteste.
Ça le coupe dans son élan, je poursuis :
— Je vais te baiser.
Ma main gauche arrache presque sa ceinture et baisse l'arrière de son
pantalon beige et de son caleçon pour exposer son cul. Je rentre quatre
doigts de ma main droite dans sa bouche. Ça suffit largement à la lui
remplir, je n'ai aucun mal à lui faire bien écarter la mâchoire à la
simple force de mes doigts. Ma queue est tendue, énorme comme à son
habitude. J'adore dominer.
Ma main gauche libère ma queue. Je crache dessus et la pointe à l'entrée
de son cul. Il s'agite. Ma main droite toujours dans sa gueule,
j’appuie fort avec ma main gauche sur son dos. Très fort. Avec le bureau
en dessous et ma main au-dessus, sa cage thoracique ne peut plus
s'étendre pour respirer. À chaque expiration j'augmente la pression. Ma
main dans sa bouche sent son souffle de plus en plus faible et rapide.
C'est très efficace pour le calmer.
Je rentre ma queue. C’est serré. Il hurlerai s’il le pouvait. Je continue de le pénétrer, lentement, mais sans arrêt. Je veux qu'il sente chaque
centimètre. De toute façon, vu l'épaisseur de ma bite, le contraire est
impossible. Il tremble de douleur. Des larmes coulent. Il n'a
probablement jamais eu aussi mal de sa vie. II est humilié. Et le pire
c'est que la source principale de douleur et d'humiliation reste en
place. Pas pour longtemps. Maintenant que je suis à fond dans son petit
cul, j'ai envie de seulement trois choses. Et je m'attelle à la première,
je bouge ma queue lentement, je cherche quelque chose. Un gonflement,
mais pas sa prostate. Trouvé ! Je positionne mon monstre et je contracte
mes muscles pour bien appuyer. Il s'écoule quelques secondes de calme
avant qu'il ne s'agite légèrement. Un coup d’œil sur l'avant de son
pantalon m'indique que j'ai réussi comme prévu: il se pisse dessus.
Une tâche d'humidité s'étend sur son pantalon beige.
— Ma bite écrase ta vessie. Tu ne peux rien y faire, juste te pisser dessus.
J'insiste, avec ma queue, je veux le vider à fond de sa pisse. Il ne
bouge plus. Normal. Son monde a dû exploser. Mais je n'ai pas fini. Je
cherche à nouveau quelque chose dans son cul : sa prostate. Et je la
trouve facilement. Rien d'étonnant vu ma queue. La situation m'excite
comme jamais. Je bande tellement dur que je pourrais le soulever en
l'air juste avec ma bite.
Je commence à le baiser. Je cible systématiquement son point G, ma queue
frotte de presque toute sa longueur dessus et à chaque pénétration
complète, je la contracte pour exercer encore plus de stimulation. Je
l'entends faire un "huh" à chaque fois que je m'enfonce. Je reconnais ce
son, il a arrêté de réfléchir. Je le baise un moment. Un long moment,
il a gémi plusieurs fois de façon plus marquée. J'en déduis qu'il a dû
jouir plusieurs fois déjà.
Étape deux faite.
Maintenant, l'étape 3 : me finir. Son cul est bien habitué maintenant je
me lâche. La même puissance qui l'a immobilisé et empêché de respirer
s'acharne maintenant à le démonter avec la vingtaine de centimètres de mon pénis, épais comme une canette. Je ne lâche pas sa prostate pour
autant. Je sens le final approcher. Je pose mon torse sur son dos,
agrippe le bord du bureau avec la main gauche et contracte tout mes
muscles pour le prendre à fond. Il ne reste pas un millimètre entre son
corps et le mien quand je commence à jouir. Seul, j'aurai envoyé une
dizaine de jet avec assez de pression pour m'en foutre dans les cheveux.
Là, c'est dans son cul que je jute, et je vise son point G. Je savoure
mon orgasme pendant que lui vibre sous mes muscles, sa glande du plaisir
subissant une grosse dizaine de jets de sperme haute pression. Je me
redresse. Sa chemise blanche est transparente tant il a transpiré. Je
retire ma queue de son cul, l’essuie à l'arrière de sa chemise et la
range. Il ne bouge pas. Je l'ai détruit. Et je l'ai forcé à aimer ça. Il
est homo maintenant. Il va vouloir à nouveau ressentir cette
jouissance. Il commence à pleurer lorsque je sors de la pièce.