Briser le stagiaire (2)



Je reconnais à peine Devon le lendemain matin. Hier c'était un jeune homme affirmé, aujourd'hui, il semble surtout attendre qu'on lui donne un ordre. Pour la première fois il est rasé de près et c'est beaucoup mieux. D'ailleurs, j'y regarde à deux fois mais non, je ne vois plus ces poils qui sortaient hier de l'encolure de sa chemise. Il a aussi rasé à cet endroit. Remarquable ! Je lui donne donc son travail de la matinée et admire la rapidité à laquelle il s'y met.

Un peu plus tard, je vais dans le bureau dans lequel il bosse, c'est celui dans lequel on se change pour aller plaider. Je déboutonne lentement ma chemise en le fixant afin de voir à quel moment il ne pourra s'empêcher de jeter un coup d'oeil. Bien sûr, je ne tarde pas à croiser son regard. Il baisse la tête et devient tout rouge. Je retire ma chemise. Passe ma main sur mon torse velu. Je m'approche de lui et le vois s'immobiliser, terrorisé par le désir qui vient de s'emparer de lui. Je lève le bras et, d'une main, je plaque son nez sous mon aisselle. De l'autre, je dégrafe sa ceinture, envoie pantalon et boxer sur ses chevilles. J'empoigne fermement ses couilles sous son sexe en train de gonfler. Je lâche sa tête :

— Respire à fond ! Lèche ! Assume tes envies !

Alors il se met à donner de grands coups de langue sous mes bras. Je lâche ses couilles et me mets à caresser son cul pour le rendre femelle :

— Tu veux que je t'encule comme hier ?

Je crois n'avoir jamais vu un mec devenir aussi rouge. J'imagine comme son corps garde le souvenir de la jouissance d'hier. Mes mains accentuent leur caresse. La raison est vaine face au désir. Il baisse la tête, se retourne, met ses mains sur le bureau, dans la position dans laquelle je l'ai pris hier, ses fesses charnues face à moi. Je l'admire sans bouger et sans rien dire, heureux de l'obliger à assumer d'être devenu homo. Il se cambre davantage et me regarde en souriant, un peu moins rouge que toute à l'heure.

J'ai rendu ce mec accro au plaisir que peut lui donner son cul.

Étape 2: Je veux le rendre accro à ma queue.

— C'est bien que tu te sois rasé. Il faudra faire les jambes aussi.

— Oui...

— Cela te ferait envie de voir mon pénis ?

— Oui...

— Alors regarde...

Et lentement, je déboutonne ma braguette et en sort ma lourde teub. Son regard est fixé sur ce sexe qui lui a donné la jouissance. Je prends sa tête fermement dans mes mains et l'abaisse en direction de ma queue. Il n'a pas le choix que de mettre genoux à terre et se retrouver le visage à quelques centimètres de l'organe de plaisir. Comme il ouvre spontanément la bouche, j'y introduit mon zob. À peine est-il entouré de la douce chaleur que je sens qu'il commence à gonfler.

Le problème pour Devon c'est que si ma queue molle pouvait tenir dans sa gueule, elle va, en grossissant, dépasser largement la capacité de sa bouche. La chaleur est si douce qu'il est hors de question qu'il recrache mon membre aussi, je maintiens sa tête fermement contre mon pubis. Quelle délicieuse sensation que celle du sang affluant dans mon sexe qui gonfle, durcit et s'avance inexorablement au fond du palais de mon suceur. Bientôt je la sens à l'étroit mais un haut le cœur ouvre grand la gorge de Devon dans un réflexe de déglutition et ma bite en profite pour se loger au fond de la gorge. Comment c'est bon de bander à mort dans une bouche chaude et humide. J'ai envie d'aller plus loin alors, toujours les deux mains sur sa nuque, je me recule et réavance d'un coup le plus loin que je peux. Ma bite est dans un fourreau idéal, massée entre la langue et le palais, et je la fais coulisser en de longs allers-retours. Je regarde Devon. Les yeux dans le vide il ne pense plus à rien.

Il est passé en mode j'obéis, je me laisse faire. Hier soir il a rasé sa barbe de dix jours et les tous récents poils de son torse dont il était si fier et là, il se laisse formater par le pénis de celui qui l'a initié au plaisir.

Je continue de branler ma queue dans sa bouche et jusqu'au fond de sa gorge. J'insiste et tape bien au fond, des larmes coulent de ses yeux mais il tient bon. Alors je sais que je peux y aller, je vais prendre mon plaisir. Je cale mes mains sur sa nuque et je commence à accélérer le mouvement. C'est tellement bon de branler sa bite dans la gueule d'un petit mec mignon comme ça. J'accélère encore, encore, encore, je cogne bien au fond à chaque fois, il bave tellement sur ma teub que j'entends le floc! floc! de sa bave qui coule sur le sol. Je le préviens :

— Oh oui, je sens que ça vient !

Je tape encore bien au fond plusieurs fois et, le plaisir, me submerge, je sens mon sperme qui gicle, je m'accroche à sa tête pour ne pas perdre l'équilibre. Je le regarde, il déglutit, il me regarde avec ses yeux humides. Je vois sa bite tendue entre ses jambes.

Étape 3: La métamorphose.

— Assis-toi contre le mur, mon beau Devon.

Il se déplace mais il est encore plus essoufflé que moi. Je prends conscience que lui aussi a joui. Il a joui de ce jet de sperme chaud dans sa gueule. Il a joui d'avoir été utilisé par un mâle.

— Lèche ton majeur ! Oui, c'est bien. Maintenant passe-le sur le devant de ton sexe, oui, comme ça, sur le devant du gland, comme font les filles dans les pornos avec leur clito, de haut en bas puis de bas en haut. Fais-toi du bien comme ça. Tu dois jouir sans prendre ton sexe dans ta main comme font les hommes. Regarde-moi dans les yeux. Vas-y fais toi du bien mais ne me quitte pas des yeux. C'est bon hein ? Tu es une bonne petite femelle, une bonne lope qui va jouir du clito, frotte salope frotte ! Tu as aimé mon sperme hein ? Frotte plus vite, je veux que tu jouisses. Il est bien rasé, bien lisse ton torse. Tu me regardes c'est bien. Regarde ma grosse queue aussi. Voilà ! Ouiiiiii tu mouilles ! C'est bieeeeeeen !

Mon Devon a l'air bien penaud mais je rigole :

— J'ai l'impression que tu as joui au moment où tu as lâché mon regard pour voir ma bite, je me trompe ?

— Non...

— Je te donne ta journée Devonne, afin que tu aies le temps de t'acheter une petite culotte pour demain...
















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