Sous l'emprise de mon collègue Karim (1)




La fin de la journée de travail approche et, assis à mon bureau, pensif, je retourne cette question dans ma tête :
Oui ou non, Karim m'avait-il mis une main au cul là, tout à l'heure, en salle de pause ? J'étais tourné vers l'évier afin de me servir un café, il est passé derrière moi et j'ai senti, distinctement, sa main sur mes fesses. Le temps d'être sûr de ce qui venait de se produire, il était déjà loin. Karim et moi on ne s'entend ni bien ni mal, on est collègue et on rigole ensemble de temps en temps. Hier, alors qu'il se levait de table pour aller faire sa vaisselle, j'ai jeté un rapide coup d’œil au niveau de la braguette de son pantalon, et j'ai remarqué qu'il avait un plutôt gros paquet.

— Stéphane, tu dors ?

Une voix grave me tire de mes rêveries.

— J'étais dans mes pensées, que puis-je pour toi Karim ?

— Un service à te demander, j'ai un meuble à déplacer chez moi, je voudrais que ce soit fait ce soir vu que j'ai des invités demain, est-ce que tu passerais me donner un coup de main ?
Entre collègues, on n'a pas trop l'habitude de se demander ce genre de services, mais bon, je n'ai pas de raison de lui refuser mon aide et puis, c'est toujours sympa d'avoir l'occasion de faire plus connaissance.

— Bien sûr, tu veux qu'on y aille maintenant, j'ai terminé.

— Ok super.

Je suis Karim jusque chez lui. Sitôt entrés dans l'appartement, je sens cette odeur typique des appartements de célibataires. Pendant que Karim change ses chaussures pour des espadrilles, je regarde dans la chambre où trône un slip au pied du lit. Nous y entrons car le meuble à déplacer s'y trouve. Nous soulevons le meuble à deux et commençons à le déplacer. Je trouve que ça se passe bien mais, étrangement, Karim devient désagréable. Il critique la façon dont je soulève le meuble, me traite d'incapable, finalement, il pose son bout alors que je garde le mien levé et il vient derrière moi me montrer comment je dois placer mes mains. Alors qu'il me fait déplacer mes mains sur le meuble en me hurlant dessus, je sens sa main chaude se poser sur ma fesse. Je suis comme statufié, je ne dis rien, je reste là, le meuble dans les mains. Il appuie davantage sa main et la bouge pour la glisser entre mes fesses. Je veux protester mais il me crie dessus :

— Mets tes mains plus haut, tu peux rien tenir là !

Je monte mes mains l'une après l'autre pour les mettre où il le souhaite.

— Et fais attention à mon meuble, tu vas m'entendre s'il est abimé !

Sa voix grave occupe tout l'espace pendant qu'il avance sa main et saisit mes couilles qu'il enserre.

— C'est bon ?

Sa question me déboussole :

— Qu'est-ce qui est bon ?

— Ma main sur tes couilles ! Tu la sens donc pas ?

Et il serre davantage... Il rigole d'un beau rire et serre davantage mes testicules sans que je sache si c'est exprès ou si, de rire, il a oublié que c'était mes burnes dans sa main :

— Allez, baisse ton froc !

— Je pose le meuble avant ?

Je me rends compte que ma voix est celle d'un enfant qui demande la permission.

— Oui connard !

J'ai honte de la bêtise de ma question. Je ne sais comment réagir. Sa main serre fermement mes boules et je sens que je bande. Je me baisse pour poser le meuble, me retourne pour qu'il retire sa main. Je lui fais face.

— Tu as une toute petite queue, mais ça se voit quand même que tu bandes...

Je suis rouge de honte.

— Tu veux boire quelque chose ?

Le ton est redevenu aimable et nous nous asseyons.

— Tu veux du Fanta orange pour te remettre de tes émotions ?

— Avec plaisir !

Il revient avec un verre de Fanta orange pour moi et une bière pour lui. J'aurais bien plutôt bu une bière mais bon... D'autant que ce Fanta tiède n'est pas bon du tout. Je le bois par politesse pendant que nous discutons boulot comme s'il ne s'était rien passé. À un moment il se lève et vient derrière moi. Il regarde mon verre vide :

— C'était un test et j'y crois pas que tu as bu ce truc dégueu sans rien dire !

Je comprends qu'il vient encore de se moquer de moi et je rougis à nouveau. Il met ses mains fermement sur mes épaules. Il sourit :

— Ouvre la bouche pour voir...

Je pense qu'il veut regarder comme ma langue doit être orange et j'ouvre la bouche en tendant la langue. Alors je l'entends se racler la gorge comme pour faire un mollard, je le vois se placer au dessus de ma bouche ouverte, la salive visqueuse sort de sa bouche. Je sens ses mains chaudes sur mes épaules et le crachat est descendu lentement jusqu'à ma gorge sans que je ne bouge. La large main de Karim est ensuite venue fermer ma bouche, j'ai entendu sa voix grave, douce cette fois :

— Bien. Avale. C'est bon pour toi ça...

Il m'a regardé avaler puis il a saisi ma chaise et l'a basculée en arrière en m'immobilisant avec sa voix de basse :

— Voilà voilà voilàààààà

... jusqu'au sol.

Je suis toujours sur la chaise mais dos au sol. Je me sens en confiance car je ne me suis pas fait mal. Je vois Karim au-dessus de moi, triomphant. Il retire ses espadrilles et balance son pied au-dessus de mon visage. Il me caresse maintenant la joue avec sa plante de pieds :

— Je le savais que tu étais une bonne salope. Tu vois, tu es à ta place maintenant.

Son pied passe sur mon front, mon nez, ma bouche.

— Maintenant, je vais te pisser dessus et, tu vas voir, tu ne vas pas bouger non plus.

Comme hypnotisé, sous emprise, je le vois défaire sa braguette et sortir son pénis. Je me sens tout chaud en voyant la taille de son engin. Sa bite qui bande à moitié est épaisse, circoncise avec un gros gland.

— Aaaaaaaaah.

Avant que j'ai pu réaliser ce qui se passait, la pisse sort en jet et s'abat sur mon torse puis, comme Karim tient son sexe et guide l'arrosage, sur mon visage. Je ne pensais pas que c'était si chaud. Quand il a finit, Karim secoue sa queue au-dessus de moi, la dernière goutte m’atterrit près de l’œil, il se renculotte.

— Elle te plait ma grosse bite, hein ? T'as aimé ça, chienne... Si tu veux revoir mon zguègue, tu nettoies tout et tu me rejoins dans la chambre. La serpillère est sous l'évier...


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