Sous l'emprise de mon collègue Karim (2)




Je retire mes vêtements trempés et puants d'urine. Mon sexe est dressé comme jamais sans que je sache pourquoi. En vérité, je bande tellement que ça me fait mal. Comme un automate, je prends de quoi nettoyer sous l'évier et je m'applique à éponger la pisse de Karim. Je trouve qu'elle sent particulièrement fort. Je fais ça avec la serpillère à la main et un seau comme je n'ai rien trouvé d'autre, ma petite queue bien raide... Ensuite je repasse un coup avec du Monsieur Propre pour que ce soit nickel. Le sol est propre, mais je sens encore sur moi l'odeur de l'urine de Karim, comme s'il m'avait marqué.

— NE BOUGE PAS !

J'entends la voix de Karim juste derrière moi. Je ne l'ai pas entendu s'approcher. Je m'immobilise. Je sens quelque chose de froid sur ma fesse. Comme un bâton en plastique. Il doit y avoir comme de l'huile dessus car il glisse sur mon cul. Je veux bouger, protester, mais c'est comme si mon corps ne répondait plus aux commandes. Le bâton glisse entre mes fesses jusqu'à mon anus. Karim appuie à ce niveau. Il est clair qu'il veut le faire rentrer. Je serre le sphincter.

— Ah, tu me résistes salope, j'aime ça...

Karim se lève et passe devant moi. Il est nu et joue avec son pénis en le baladant devant mes yeux. Je sens une chaleur m'envahir. Sa queue est si longue, si épaisse et, surtout, je la vois qui est en train de grossir, de s'élargir, de se dresser devant moi. Quand elle est totalement raide, Karim prend un peu de salive dans sa bouche, et il se caresse le gland gonflé. Tout à coup, il se met à rire :

— C'est excellent comment tu baves Stéphane, mais regarde !

Je me rends alors compte que j'ai la bouche ouverte et que de la bave coule sur mes lèvres. Avec son doigt, il prend cette bave et caresse son gland avec.

— Mmmmmh !

Le salaud bande à mort, il se masturbe devant moi sans aucune gène alors que moi je suis rouge de honte.

— Lèche mon gland salope, je sais que tu en as envie.

Sans réfléchir, je tends ma langue. C'est vrai que j'ai envie de lécher. Il me regarde en souriant mais sans approcher sa queue. J'ai l'air bien ridicule, la bouche ouverte et ma langue pendante.

— Je vais faire de toi une très bonne chienne tu sais. Alors, maintenant, tu vas prendre le gode que j'ai laissé par terre et tu vas te le mettre dans le cul.

Je ramasse le long bâton en plastique mou tout huileux et je le positionne à l'entrée de mon fion.

— Regarde bien ma queue, les putes elles ont le cul qui s'ouvre quand elles voient une grosse bite.

Effectivement, je me sens de plus en plus chaud en regardant sa queue et, alors que j'appuie le gode contre mon anus, je sens que celui-ci s'ouvre pour laisser entrer le bâton.

— Oui, voilàààààà... Tu t'ouvres mec. Continue d'enfoncer, comme ça, c'est bien la pute. Tu vois, tu es en train de préparer ton cul pour ma grosse queue. Ca sera plus facile de t'enculer quand ton anus va être bien élargi.

Je pense que je ne suis plus rouge, je suis cramoisi. Le bâton est maintenant profondément enfoncé dans mon cul. Je me sens ouvert.

— Mets-toi à quatre pattes, je vais prendre des photos

— Non, Karim, non !

Je n'en reviens pas d'avoir réussi à parler.

— D'accord Stéphane, je prends pas de photos de toi à quatre pattes avec un gode dans le cul.

Sa main s'approche de ma queue.

— Oui, mais alors, tu aimes ça le gode parce que, qu'est-ce que tu bandes !

Sa main caresse mon sexe, c'est bon car, je commençais à avoir mal à force de bander sans me toucher. Je me mets à quatre pattes pour qu'il soit plus à son aise. Il me masturbe bien et, rapidement, je m'approche de la jouissance. Mon petit sexe tout raide est bien au chaud dans sa grosse main, il accélère ses mouvements, je sens la pression monter, il branle encore, encore et s'arrête pile avant que j'éjacule. J'ai super chaud.

— Continue stp, c'est trop bon.

— Je peux prendre une photo ?

Avec le dos de sa main, il frôle ma petite queue afin de maintenir l'excitation. J'ai tellement envie de jouir. J'ai la tête qui tourne, mon sexe est tendu à mort. Je croise le regard de Karim, il attend ma réponse, il reprend mon sexe dans sa main et fait un aller-retour sur le gland, la vague de plaisir parcourt tout mon corps et s'arrête trop tôt à la fin du mouvement. Il serre la base de ma queue, fort. Je ne peux détacher mon regard du sien. Il fait un oui avec la tête, je fais un oui avec la mienne. Il fait deux pas en arrière, prend son appareil, j'entends le déclic. Le temps de réfléchir et je me dis ça y est, la photo est prise et oui, tu étais à quatre pattes, avec ton petit pénis tout raide et un gode qui dépasse du cul.
Karim vient derrière moi et, lentement, retire le gode de mon cul. Clic ! On entend le bruit de l'appareil photo.

— Tu fais quoi ?

— Je prend une photo de ton anus. Je te la montrerai que tu vois comme tu as l'anus bien ouvert maintenant.
Il met un doigt dans mon trou et, effectivement, il n'a pas eu de mal à le faire.

— Je crois que tu es prêt à être enculé mec !

Je regarde sa queue, il est en train de la branler, comme pour la mettre en service, elle est super grosse, super raide. Bien plus grosse que le gode, suis-je en train de me dire.

— Oui Stéphane, elle est plus grosse que le gode. Je vais continuer à t'élargir !

Je sens alors son gland chaud contre mon trou.

— Tu vas bientôt être ma femelle Stéphane, je vais t'enculer tu vois. J'ai vu, tu sais, que tu regardais la bosse de ma braguette hier, alors j'ai su que j'allais pouvoir mettre ma queue au chaud dans ton trou de pute.

Il s'éloigne un peu.

— Tu sais qu'elle est vraiment bien ouverte ta chatte maintenant.

J'entends qu'il prend une photo.

— On a fait du bon boulot avec ce gode. Dommage que j'ai pas pris de photo de ton anus avant, on aurait comparé ! Attends, je suis sûr que si j'approche un doigt, il s'ouvre plus.
Je sens son doigt qui touche ma corolle et je sens que je m'ouvre.

— C'est comme une fleur qui s'épanouit, j'adore ! On dirait que ton cul est prêt pour la grosse bite de Karim ! Tu vas voir, je vais enfoncer mon pénis et tu vas aimer ça ! Toutes les chiennes aiment ça !
Je sens de nouveau la chaleur de son gland contre mon anus, et, comme s'il n'attendait que ça, je sens qu'il s'ouvre encore davantage. Karim en profite et je sens entrer son sexe, je sens entrer, petit à petit, toute la longueur de son pénis. Cela me semble durer longtemps et c'est comme s'il prenait possession de moi.

— Ah oui ! Je suis au fond là ! Je te l'ai mise jusqu'aux couilles ! T'es enculé comme une bonne femelle !

C'est le signal du départ d'une chevauchée fantastique. Car Karim aime enculer il y a pas de doutes là-dessus. Et que je te retire ma bite, et que je la réenfonce d'un coup sec... Et moi j'encaisse. Chaque coup de queue qu'il enfonce au fond de mon cul me donne l'impression d'être un peu moins un gars et un peu plus sa pute. Mes Han ! Han ! de plaisir deviennent des couinements dignes d'une adolescente qui perd son pucelage.

— Voilà. Laisse-toi aller ma chienne. Tu entends comme tu es en train de devenir femelle : c'est bien !

Et il me ramone de plus belle. Je sens sa grosse queue faire sa place dans mon cul. Je crie mon plaisir alors qu'il accélère l'enculage.

— Allez, on y va ! Tu es prête à être fécondée. Je vais envoyer mon sperme bien au fond de ton cul.

Le rythme de ses mouvements s'accélère et je sens qu'il va jouir. Je n'ai pas la force de m'opposer à l'inexorable. Ses aller-retour dans mon cul deviennent frénétiques, sa respiration s'emballe. Il stoppe d'un coup, sa queue plantée en moi.

— Ah OUIIIIIIIIIIIII !

Je sais qu'il vient de me remplir de sa semence de mâle arabe. Je me sens sa chienne. Il décule lentement, se lève alors que je reste à quatre pattes.

— Rentre chez toi et je te défends de te toucher. À lundi au taf !

Je rentre donc chez moi. Je n'ai pas joui et, forcément, j'ai envie de me masturber. Mais c'est comme si les paroles de Karim, gravées dans ma tête m'en empêchaient. Durant tout le samedi et le dimanche me reviennent en tête les images de ma soumission : le goût du mollard dans ma gorge, l'odeur de la pisse de Karim, son sexe, son sperme. A chaque fois, cela me fait bander sans que je puisse me soulager.


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