Briser le stagiaire (3)

 Ci-dessous le 3ème épisode de la série

1er épisode

2ème épisode





Je caresse le cul au travers de la dentelle. J'admire le corps fin du stagiaire qui s'est déshabillé et n'a gardé que la petite culotte rose. Devon ronronne et frétille doucement de la croupe. J'approche ma grosse main velue de sa rondelle. Il lâche de petits couinements. Un bruit de pas dans le couloir. Devon s'arrête d'un coup. Je passe ma main dans ses cheveux:

_ Il faut pas que tu aies peur qu'on t'entende tu sais. Ici, tout le monde s'accorde des pauses. A partir du moment où le boulot est fait, c'est ok.

_ Oui, mais ça m'ennuie quand même

_ T'inquiète, je vais t'aider à être à l'aise avec tes envies. Tu veux?

_ Bien sûr

_ Pour commencer, tu vas travailler toute la journée avec juste ta petite culotte. Tu t'aimes bien comme ça, non?

_ Oui... Mais je n'avais jamais été excité par ça avant de vous rencontrer...

_ Oui mais je t'ai baisé...

Je baisse la culotte, prend la main de Devon et la guide vers son anus:

_ Touche ta rosette... Sens comme elle est différente... Sensible, ouverte, accueillante...

Le doigt du stagiaire explore. Cela fait deux semaines que je défonce le cul de ce petit mec parfois plusieurs fois par jour. Vu la grosseur de mon pénis, ce qui était hier un petit trou serré est aujourd'hui bien élargi. Sous le doigt, le conduit s'ouvre en grand: prêt pour la saillie.

_ Tu n'es plus le même... T'es un enculé!

Lui avoir caressé le cul m'a donné une trique d'enfer, dommage que j'ai un rendez-vous, j'aurais eu plaisir à le monter encore et me vider dans son conduit tout chaud.

_ Bon courage Devon! Tu dois avoir du boulot avec ta soutenance demain.

_ En fait, je suis prêt! Je vais relire mais vraiment, c'est bon!

_ Cool !

Je remets en place ma bite toute dure et bien encombrante dans mon boxer et file à mon rendez-vous.


Après la consultation, sur le trajet du retour,  je réfléchis à la promesse que j'ai faite à mon stagiaire. Quel dommage que personne ne vienne jamais dans la salle où il bosse... Du coup j'envoie un mail pour inviter toute la boîte à y boire le pot de l'amitié à midi. Je passe prendre quelques bouteilles et paquets de chips. Avec la bande de soiffards qui me tient lieu de collègues, je suis sûr qu'il y aura du monde!


A midi pétantes, un premier groupe entre dans la salle. Mon pauvre Devon, rouge comme une tomate, semble paralysé à son bureau, ne sachant que faire pour dissimuler sa nudité et son joli sous-vêtement. Les collègues ne disent rien mais ne cessent de jeter des coups d'oeil furtifs dans sa direction. Certains commencent, par groupe de deux ou trois, à piaffer plus ou moins bruyamment pendant que je remplis le verre de chacun. D'autres groupes arrivent, la salle est bientôt pleine à craquer.

Je m'approche du stagiaire, prend sa main et l'invite à se lever. Sous les spots du plafonnier, son corps épilé semble briller. Avec le stress, il se dandine et bouge joliement ses gambettes. La dentelle de la culotte laisse clairement apercevoir les contours de son sexe à l'étroit. Je souris:

_ Merci à tous d'être là. Ce verre de l'amitié pour saluer le bon boulot de Devon et l'encourager pour sa soutenance demain!

Applaudissements nourris des collègues joyeux. Je poursuis, hilare:

_ Par contre, pas sûr qu'il ait apprécié la surprise !

Rires et coups de coude dans les côtes. Quand les rires cessent, chacun dévisage Devon de haut en bas. Regards appuyés sur son entrecuisse. Je vois Grégory qui s'approche de lui. Il n'a pas de cravate aujourd'hui et sa chemise déboutonnée laisse apparaître son torse velu. Il saisit le jeune homme par les épaules pour le féliciter et Poc! lui file en louzdé un bon coup de genou dans la cuisse, au niveau de l'insertion du quadriceps, là où ça fait bien mal. Devon en renverse son verre, attirant encore plus l'attention sur lui. Grégory se fait aimable:

_ Comme c'est mignon, on dirait une jeune fille troublée par le loup!

Les rires fusent de toute part tandis que le pauvre Devon frotte sa cuisse douloureuse. Il croise le regard moqueur et réjoui de Grégory.


Rapidement une fois les verres bus, la salle est de nouveau vide. Je contemple Devon. Dans la petite culotte, je remarque un début d'érection:

_ Comment tu te sens ?

_ Ca va... Vous m'avez joué un sacré tour!

_ Tu as aimé on dirait...

Je passe ma main sur le devant de la culotte pour caresser son sexe gonflé. J'insiste:

_ Tu ne réponds pas?

Il rougit. Je continue de l'interroger:

_ Tu as aimé ces regards sur toi?

_ Oui! fait-il avec la tête


_ Tu as aimé qu'ils rient?

_ Oui! fait-il avec la tête


_ Tu as aimé que Grégory te fasse une béquille?


Après un temps de silence


_ Oui! fait-il avec la tête

_ Tu aimerais aller plus loin?

Il me fixe d'un air interrogatif. Sous ma main, son sexe palpite, dur et gonflé, contraint par la dentelle. J'appuie un peu plus:

_ J'ai envie que tu publies les photos du pot de l'amitié que je t'ai envoyées sur tes réseaux

_ C'est chaud ça ...

Je fais aller et venir ma main sur son sexe sans rien dire. Je le retourne pour me mettre dans son dos. Je me frotte contre son cul pour lui faire sentir que je bande aussi. Il prend son smartphone. Je le prends dans mes bras. Totalement plaqué contre lui, je me donne du plaisir en faisant aller et venir mon zob dur le long de sa raie. Il gémit. Il prend conscience de l'épaisseur de mon pénis contre lui et il se sent femelle soumise: normal. Je chuchotte à son oreille le texte "Ce midi au pot organisé pour ma soutenance demain, je me suis totalement ridiculisé... Et j'ai aimé ça!" Alors qu'il hésite sur les photos à joindre:

_ Prend aussi le gros plan sur ta petite culotte et tes jambes épilées.

Il envoie et je le sens tout tremblant entre mes bras. Je défais ma grosse ceinture de cuir et fais tomber mon pantalon. Je baisse sa culotte, lubrifie mon gros pénis avec de la salive et me positionne en face de sa rondelle. De nouveau je passe mes bras autour de lui et l'enserre tendrement. Il se ravise:

_ Arrête, je vais effacer ça, ça craint!

J'appuie mon pénis contre sa rosette:

_ Tu veux ma teub poupée?

_ Bien sûr!

_ Alors pose ce téléphone et cambre-toi chérie!

Alors qu'il pose son mobile et se penche vers l'avant en prenant appui sur la table, je l'invite à soulever une jambe et je m'enfonce doucement en lui, écartant les chairs. J'admire le joli contraste entre mes cuisses mates, musculeuses et velues et ses jambes épilées. Son téléphone vibre des messages et notifications qui arrivent en masse. Bientôt, il sonne et affiche "Doris".

_ C'est ta copine?

_ Oui ...

Je me recule alors pour lui donner un grand coup de bite. Il couine. Je l'encule comme il faut, son cul est très chaud, c'est bon. Le téléphone sonne toujours et je le sodomise sur le rythme de Daft Punk. Je sens qu'il tremble alors je cible sa prostate pour l'obliger à lâcher prise et jouir. Bientôt il crie en rythme. Je le serre contre moi. Je sais qu'il m'appartient maintenant. Il a goûté au plaisir de se faire humilier, il a aimé ça, il va vouloir aller toujours plus loin. Inexorablement. Guidé par mon plaisir, je le pilonne profondément.

_ Tu aimes ça hein?

_ Ouiiiii !

_ Tu aimes te faire enculer ?

_ Ouiiiii !

_ Elle en pense quoi Doris?

Je sens qu'il se raidit. Ses sphincters serrent ma teub. Je force pour continuer à coulisser en lui. Je sais que ça le chauffe.

_ Aïe!

Je continue, je veux qu'il s'habitue à être enculé même quand il n'a pas envie. Je lui donne un coup de poing sur l'endroit endolori de sa cuisse et durcit le ton:

_ Tu réponds salope! Elle en pense quoi Doris!

Je mets ma main sur son sexe et constate qu'il se tend. Parfait! Il aime quand le mâle se fait violent! Sa voix est étonnamment calme, soumise:

_ Elle parlait déjà de me quitter pour retourner avec Quentin, son ex qui est fou d'elle. Je crois qu'après ce post, c'est avec lui qu'elle va dormir cette nuit...

_ Oui, Quentin va la prendre dans ses bras, lui rouler une pelle baveuse, caresser son petit cul. Ca va le faire bander le salaud. Ensuite ils vont se déshabiller. Elle va admirer le pénis bien raide du mec, ouvrir ses cuisses. Il va s'allonger au-dessus d'elle. Son membre dressé va venir au contact de la chatte humide. Ca va la rendre folle de désir. Il y a une goutte qui perle au bout du gland. Il est vraiment méga-excité! Ca y est, il la pénètre! Il fait rentrer sa queue dans le vagin humide et chaud. Hmmmm! Une vague de plaisir les inonde en même temps. Inséré en elle, il l'embrasse goulument. Ils ne font plus qu'un. Elle te revoit avec ta petite culotte rose et elle se réjouit de t'avoir quitté. Quentin commence ses va-et-vient  Il la baise ta meuf! Il la baise comme je te baise! C'est si bon quand on est un mâle de faire aller et venir sa queue dans un conduit tout chaud!

Je sens l'anus qui se décontracte et devient tout humide, alors j'accélère le ramonage.

_ Vous êtes cruel de me dire ça!

_ J'ai plutôt l'impression que ça t'excite non? Imagine-le en train de la baiser...

Comme un métronome, mon braquemart va et vient en lui.

_ Ca va Devon?

_ Ca va, c'est juste qu'elle est vraiment super jolie

_ Quentin va être tellement content de la récupérer...

_  Et oui, vous avez raison, ça m'excite de l'imaginer en elle

_ Et se vider en elle!

_ Et se vider en elle...

Je donne de grands coups maintenant et Devon couine de plus en plus fort. Il ne se rend même plus compte qu'on l'entend à coup sûr dans les bureaux à côté.

_ Oui c'est bon! Laisse-toi aller!

Moi aussi je me laisse aller et encule de plus en plus vite pour jouir. Je ne contrôle plus rien, je le serre à fond contre moi, je m'approprie ce cul, j'encule, j'encule et

_ AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Je serre et je desserre son corps au rythme des giclées de ma semence.  Je gicle tellement profondément en lui. Soudain tout son corps se spasme, son cri aigu et puissant me surprend

_ IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIH !

Je mets ma main sur le devant de la culotte. Elle est trempée de sperme. J'entends que ça rit derrière la porte. Je décule. Ca coule. J'essuie ma bite sur sa fesse. Je le regarde. Il rougit, ramasse son téléphone. Je rigole:

_ Il est fait ton coming-out je pense!

_ Oui !

Nous rions de bon coeur. Je prends sa tête dans mes mains et lui roule une pelle monumentale.

_ On prend ma voiture et on part tous les deux, ça te dit ?

_ On part où?

Mes yeux dans les siens je chante:

_ Où je sais pas. Il y a que les routes qui sont belles et peu importe où elles nous mènent. Oh belle!

_ On ira! On suivra les étoiles et les chercheurs d'or...

_ Si on en trouve on cherchera encore!*


Nous descendons au parking en chantant à tue-tête. Nous croisons Grégory. A ses yeux rouges, je devine qu'il a bu.

_ Salut Greg!

_ Saluuuut! Y s'est rha-rhabillé Devon!

_ Oui, j'ai eu peur qu'il attrape froid au cul! (je rigole)

_ C'est dommage, elle est bien saaa cuculotte !

_ Tu veux la revoir ?

_ Jeeee Veeeeu bien !

_ Tu te déshabilles Devon, le Monsieur veut voir ta culotte!

Devon me regarde interloqué. Je me fais autoritaire:

_ Devon, obéis!

Le pauvre baisse les yeux et fait tomber son jean sur ses baskets. Je n'avais pas remarqué ce joli noeud en ruban rose sur le devant de la culotte.

_ Voilà! Ca te plaît?

_ Oui, c'est une joliiiiie den-dentelle!

_ Touche si tu veux, c'est doux!

Je saisis Devon et le retourne contre le mur. Gregory avance sa main et caresse le tissu velouté.

_ Alors?

_ Ouiiiii, c'est douuuuu! Mmmmmmmh!

Gregory se plaque contre le stagiaire, commence à faire des mouvements de bassin et rigole:

_ J'ai envie de l'en-l'enculer!

Je glisse ma main sur le devant du pantalon de mon collègue et constate que son pénis est bien dur. Devon se retourne et le repousse:

_ On y va! Il pue la vinasse, il va me vomir dessus...

Gregory titube de plus belle:

_ Tu veux pas queeee je t', t'encule ?

Je prends la main de Devon et la pose sur la braguette de Gregory. Je la frotte sur le devant du pantalon. Je défais la ceinture et les boutons du futal de mon collègue et l'envoie sur ses Richelieux. Son slip blanc jauni sur le devant n'est pas aussi nickel que le reste de son costume... Je remets la main de mon craintif stagiaire sur la barre proéminente. Il rougit. Toujours sa main dans la mienne, je l'amène à aller et venir le long du membre dur. Quand un filet de bave coule de sa bouche, je sais qu'il est mûr pour se faire saillir à nouveau:

_ Devon! Retourne-toi et tend ta croupe au Monsieur!

Il s'exécute. Gregory est aussi rouge que lui.

_ Il veuuuuut bien que je l', l'encule alors?

_ On dirait bien Greg! Profites-en!

Grégory se colle à nouveau contre mon stagiaire et mime des mouvements d'enculage bien maladroits, entrecoupés de hocquets à l'horrible odeur de pinard. Je baisse la culotte de Devon, je baisse le slip de Greg, je prends fermement son pénis

_ Tu fais quoaaaa avec ma ... bite ? s'exclame le pochtron en chancelant sur ses pattes

L'anus de Devon est encore tout humide de mon sperme. Je positionne la verge en face du trou et de l'autre main je pousse sur le cul de Greg afin qu'elle s'enfonce à l'intérieur.

_ Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh!

Le cri de contentement du mâle m'indique que c'est dedans. A partir de là c'est animal, le coït est enclenché. Gregory pistonne mécaniquement, Devon ne semble pas prendre de plaisir mais accepte sa position. Greg accélère. Pourvu qu'il puisse mettre sa dose malgré sa forte alcoolémie! Le voyant bien maladroit et de peur qu'il ne décule, je garde une main sur sa fesse pour l'empêcher de trop se reculer. Et aussi parce que ça m'excite! Soudain, il stoppe ses mouvements, râle de plaisir tandis que son corps se spasme. Il le féconde! Floc! fait le surplus de semence qui tombe du cul sur le sol. Je suis trop excité maintenant pour en rester là. J'envoie mon pantalon sur mes chaussures, je me plaque dans le dos de Grégory et le prend, chancelant, dans mes bras. Un peu de salive sur mon chibre, un peu de salive sur son anus, vierge et très serré. Flot de paroles inintelligibles pendant que je le doigte. Mais je n'ai pas envie d'attendre. Mon pénis pousse contre sa rosette, je le maintiens fermement. J'essaie de voir si elle veut s'ouvrir d'elle-même.

_ Prépare-toi mon ami, Paulo va rentrer! Je pousse... Ca résiste... Je pousse... Ca résiste...

Il va donc falloir forcer le passage...

_ Attention, je rentre quoi qu'il en coûte! Tu vas découvrir de nouvelles sensations mon ami!

Je prends appui contre lui et pousse de toutes mes forces. A ce stade, je me moque bien des dégats que cela peut entraîner sur son anus. Et

_ OUI ! C'EST DEDANS !

_ AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Ca fait trop maaal !

_ Ca fait ça quand on est enculé!

Je suis rentré en force. Je maintiens la pression pour rester à l'intérieur. Cela aurait dû lui faire plus mal que ça mais l'alcool réduit la douleur. Par contre son anus est pas prêt d'oublier! Un sacré dépucelage anal! Lui avoir défoncé le trou m'excite à mort. La chaleur de son cul m'envoie des ondes de bonheur. J'y vais. Je le sodomise à grande vitesse pour jouir. Son cul est super serré, ça chauffe! Je suis en train de lui détruire les sphincters! A la vitesse à laquelle je le baise, je sens déjà la jouissance qui arrive. Il crie sans retenue à chacun de mes coups, désinhibé par l'alcool:

 _ AOUCH! AOUCH! AOUCH!

_ Hmmmm! Ca vient! Ca vient!

_ AOUCH! AOUCH! AOUCH!

_ Eh Eh, on dirait que tu aimes...

_ AOUCH! AOUCH! AOUCH!

_ Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Mon pénis au fond de lui, je le remplis de bon jus. Bien meilleur que du pinard!

_ On aurait pu le rhabiller et pas le laisser trempé de sperme dans les escaliers... Tu penses qu'il a mal au cul? me demandera plus tard Devon dans la voiture

_ Sûr que oui! Mais se rappelle-t-il pourquoi, je sais pas... Prochaine aire d'autoroute à 3km. On s'y arrête?


* Jean-Jacques GOLDMAN -On ira